Et que dire de la venue de ce même ministre à Davos, annoncé et attendu comme une rock star, quia présenté des propositions si libérales qu’il en aurait fait pâlir, pour un peu, les chantres du libéralisme réunis dans ces alpages enneigés.
Pour ma part, je ne suis pas vraiment opposé à cette vision, pas plus d’ailleurs qu’à d’autres propos tenus par un homme qui veut – pour combien de temps encore ? – donner un grand coup de pied dans une fourmilière qui a pris des dimensions gigantesques.