C’est un cas de figure que l’on risque de trouver assez fréquemment.
Deuxième exemple, prenons le cas d’une entreprise dont le chiffre d’affaires est inférieur à 50 millions d’euros, qui se voit appliquer un taux inférieur à 1, 5 %. Le cumul de la cotisation foncière professionnelle et de la cotisation sur la valeur ajoutée à un taux de 0, 75 % ou 1 % fait que le total de ces deux cotisations est inférieur aux 3 % de valeur ajoutée.
Cette entreprise connaît une réussite. Son chiffre d’affaires franchit la barre des 50 millions d’euros : la voilà au taux de 1, 5 %...