Nous voulons renforcer notre arsenal pénal pour lutter contre toute forme de prédation sur les enfants de cet âge particulier.
Je ne comprends pas l’objection fondée sur la notion de présomption irréfragable ; monsieur le président Bas, nous l’avons abandonnée ! Nous avons imaginé, avec des juristes et des instances compétentes, un nouveau dispositif, qui renforce la protection des enfants de notre pays. Nous vous demandons d’intégrer cette argumentation.
Mes chers collègues, ayons conscience d’être regardés : en venant au Sénat, comme j’écoutais une grande chaîne de radio, j’ai entendu qu’on parlait de nos débats. Allons donc juste au bout de cette volonté – partagée, je n’en doute pas – de protéger nos enfants, en lui permettant de s’appuyer sur un dispositif pénal rénové !