Je ne suis pas contre ce prélèvement parce qu’il va permettre à la France de répondre à ses engagements. Je souhaiterais simplement constater, en tant que rapporteur spécial du budget des sports, que celui-ci se réduit comme peau de chagrin et que l’on affecte des crédits au CNDS au-delà même de ses compétences.
Il s’agit d’une quasi-débudgétisation, si bien que l’on peut se demander si la mission « Sport » existera encore demain. En effet, il n’y a guère que 200 millions d’euros dans le budget du sport, alors qu’on voulait en faire une grande cause il y a quelques années.