Il paraît qu’il s’y trouve encore des personnes arrêtées sur la voie publique, dans le métro ou ailleurs, et amenées dans ces centres. Je sais ce que nous a indiqué le ministre de l’intérieur lors de son audition par la commission des lois, mais ce n’est pas vrai, ce n’est pas confirmé par les associations.
Je tenais à rectifier ce point, car il serait dommage de s’appuyer sur l’idée que l’on ne met, dans ces centres, que des personnes en fin de peine.