Monsieur le secrétaire d’État, vous nous avez parlé des variants, notamment du variant breton, lequel était indétectable, très dangereux mais heureusement peu contaminant.
La seule chose que nous savons, c’est que nous ne savons pas : nous ne savons ni quand, ni comment est apparu ce virus – s’il est naturel ou s’il a été fabriqué –, ni quand il disparaîtra.
La grippe de Hong Kong est apparue en juillet 1968, elle a disparu en décembre 1970. Avec le recul, nous savons comment le gouvernement et la société de l’époque ont géré cette crise sanitaire majeure.
Ce qui est sûr, monsieur le secrétaire d’État, c’est que vous n’avez pas été capables d’apaiser l’angoisse du peuple français. Pis, vous l’avez alimentée par vos déclarations contradictoires et vos prises de position successives. Tel est le reproche qu’on peut vous adresser.
Au mois d’avril 2021, M. le garde des sceaux déclarait que les prisonniers n’étaient pas des cobayes.
Comme l’a souligné M. Savoldelli, les vaccins sont en phase de test.