Il nous semble qu’exclure la possibilité de prendre en compte les conditions sanitaires du pays d’origine pour l’examen d’un visa de long séjour demandé par un étudiant est excessif.
Des pays peuvent être confrontés à une flambée de l’épidémie bien plus grave encore que celle que nous subissons aujourd’hui. Ce n’est donc pas le moment d’accueillir leurs ressortissants, même pour des études. C’est un noble motif, mais la sécurité sanitaire des Français doit primer sur toute autre considération.
En conséquence, la commission émet un avis défavorable.