Monsieur le ministre, ne pas régler le problème de l’intérim, c’est laisser la possibilité à toutes les infirmières qui travaillent dans les hôpitaux publics de démissionner, d’intégrer une entreprise d’intérim, puis de revenir travailler dans le même hôpital en bénéficiant de garanties supplémentaires par rapport à leurs collègues en matière de salaire et, au bout de six mois, de recharger leurs droits au chômage.