Convenez, cher collègue, que cela ne pouvait pas continuer. Donc, de grâce, évitons de faire référence à ce passé pendant lequel les pratiques d’optimisation ont été trop importantes !
Il est vrai que les élus sont inquiets. Mais la réforme de la taxe professionnelle vampirise, en quelque sorte, le débat sur le projet de loi de finances. Ce qui est à l’origine de toutes ces inquiétudes, me semble-t-il, c’est la claire conscience que nous entrons dans une crise financière publique, et que, forcément, chacun va devoir s’adapter et en tirer les conséquences. Il ne sera plus possible de se décharger sur l’État.