C’est un déchirement que nous devrons bien surmonter, mes chers collègues.
Par ailleurs, nous sommes toujours sous la menace d’une seconde délibération.
Lorsqu’elle traduit les souhaits du Parlement, une seconde délibération est politiquement recevable. En revanche, lorsqu’elle vient contredire son vote, elle est vécue comme une violence faite par l’exécutif au Parlement.
Pour que nous soit épargné ce type de traitement, peut-être faudrait-il envisager une compression un peu plus forte…