Madame Bricq, on ne fait rien de constructif sans confiance.
Depuis un certain nombre de mois, j’essaie de créer les conditions de cette confiance au sein de la commission des finances. Je confirme ce qu’a annoncé M. le rapporteur général : dès que nous aurons fini nos travaux sur les textes budgétaires, c'est-à-dire dès le début de l’année 2011, nous mettrons en chantier cette évaluation.
Madame Bricq, si vous pouviez faire, sinon un geste de confiance, un signe qui s’en approcherait, ce serait… un moment d’émotion ! §