a relevé qu'une prise de conscience s'effectuait dans l'opinion sur les conséquences négatives du poids de la dette publique, notamment à la suite de la publication du rapport de M. Michel Pébereau. Dans cette perspective, il a rappelé la nécessité d'obtenir du Gouvernement une présentation du patrimoine de l'Etat au premier janvier 2006. Seule cette opération comptable, sous la forme d'un « bilan d'ouverture », permettra une évaluation précise, réaliste et sincère des engagements financiers de l'Etat et donc de la dette, permettant de déterminer la politique adéquate pour la résorber. Il a estimé que la connaissance de l'état précis de la dette permettrait de fonder une politique réaliste pour la réduire.