a déploré, à titre personnel, qu'aucune véritable réflexion collective n'ait été menée sur les missions essentielles du Parlement. Un travail devait être conduit afin d'identifier clairement les objectifs essentiels et de s'organiser en conséquence pour les atteindre. La LOLF permettait de fournir les moyens nécessaires à cet exercice. Il a estimé, par exemple, qu'il serait difficile, financièrement, de réaliser tous les programmes d'équipements recensés dans la loi de programmation militaire et qu'il faudrait bien en prendre acte à un moment ou à un autre.