L'amendement n° 400 du gouvernement prévoit que les étrangers faisant l'objet d'une mesure d'éloignement pour motifs d'ordre public, et qui sont temporairement assignés à résidence, sont passibles d'un an d'emprisonnement s'ils omettent de se présenter périodiquement aux services de police ou de gendarmerie, ainsi que la loi les y oblige. Nous avions rejeté un amendement identique au motif qu'il trouverait mieux sa place dans le texte à venir sur l'immigration, mais peut-être peut-on, en l'attente, l'accepter.