a partagé l'approche de la ministre quant à l'efficacité du dispositif fiscal relatif aux secteurs sauvegardés, qui permet notamment de développer l'offre de logement social dans les centres-villes. Il a considéré, cependant, que le plafond adopté à l'Assemblée nationale était trop bas. Puis il s'est préoccupé du déficit de financement de l'Institut national de recherches archéologiques préventives (INRAP) et du fonds national d'archéologie préventive. Enfin, il a défendu l'idée d'une recette complémentaire en faveur du patrimoine, issue du produit des jeux, avant de s'inquiéter de l'évolution du niveau des crédits délégués aux DRAC.