a indiqué que les auditions de certaines associations par la commission avaient montré l'importance d'une bonne expertise juridique.
Il a déclaré que le monopole de la CIMADE résultait avant tout des circonstances historiques, mais qu'il faudrait s'assurer, lorsque plusieurs associations seront compétentes, de l'homogénéité du service rendu aux étrangers dans l'ensemble des centres.