Je conclus, monsieur le président.
Le train de l’histoire de l’intégration est en marche !
Fille de France, petite-fille d’Espagne, je veux, dans cet hémicycle, être la porte-parole de la jeunesse et défendre ses aspirations.
(Exclamations sur les travées de l ’ UMP.) : pour ma part, je ne comprends pas que le Président de la République se renie, en s’opposant aujourd’hui à un droit qu’il défendait hier.