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Mme Isabelle Debré. Non, évidemment, monsieur le président !
Mme Isabelle Debré. Je suis un peu effarée de ce que j’entends.
Aujourd’hui, nous travaillons dans le but de sauvegarder notre système de retraite par répartition.
Nous travaillons…
… pour nos enfants et nos petits-enfants. J’estime que nous devons aujourd’hui faire preuve de responsabilité. Hier, j’ai entendu sur les ondes quelqu’un qui ne me semble pas véritablement appartenir à mon parti politique : il s’agit de M. Jean Peyrelevade.
Mme Isabelle Debré. Une question lui a été posée en ces termes : vous étiez, à l’époque, plutôt du côté de l’opposition actuelle, et vous avez fait passer la retraite à 60 ans, n’est-ce pas ? M. Jean Peyrelevade a répondu que c’était exact. Il lui a alors été demandé s’il trouvait anormal que l’on recule l’âge de départ à la retraite à 62 ans e...
Mme Isabelle Debré. Aujourd’hui, ce clivage gauche-droite est, à l’évidence, irresponsable.
Nous devons travailler ensemble.
Je tiens à remercier M. le ministre des deux propositions qu’il nous apporte aujourd’hui. Il est vrai que la commission des affaires sociales se doit d’en débattre, pour adopter ou non ces amendements. À titre personnel – je ne parle pas pour mes collègues, bien que je sache qu’ils feront la même chose que moi –, je voterai ces deux amendement...
Mme Isabelle Debré. Aujourd’hui, monsieur le ministre, nous tenons à vous remercier.
Qu’est-ce que cela peut vous faire ? Cela ne vous empêche pas de voter ?
Absolument !
Cela commence mal !
Affreux dilemme !
Simple !
Ce n’est pas courageux ! C’est « pour » ou c’est « contre » !
Eh oui !
Le bricolage ne relève pas de la compétence législative !
Très bien !