1102 interventions trouvées.
Je suis désolé de dire à Mme la rapporteur qu’elle n’a pas répondu à la question soulevée par l’amendement n° 502. Bien évidemment, nous savons que le baccalauréat ouvre les portes de l’enseignement supérieur ! Nul n’est besoin d’un amendement pour le préciser. Mais l’objet de cet amendement est bien différent. Il s’agit en effet d’introduire ...
Autant je soutenais l’amendement précédent, autant j’aurais dû combattre celui-ci ! Il me semble important de rappeler que nos étudiants sont inscrits dans une université. Certes, ils appartiennent aussi à une ESPE, mais ils sont membres à part entière de l’université, qui va leur permettre d’obtenir leur diplôme, et ils doivent se percevoir c...
La lecture des pondérations prévues à l’article 51 finit par donner le tournis… Le Gouvernement souhaite que les représentants des enseignants soient, pour moitié au moins, des enseignants-chercheurs. À force de multiplier les précisions, on risque de tout bloquer. Mieux vaut s’en tenir à viser la représentation des enseignants, sans établir d...
Le terme « usagers » est flou. Afin d’éviter des erreurs d’interprétation, il est nécessaire de mentionner explicitement les étudiants qui suivront les cours des nouvelles ESPE et auront donc légitimement leur mot à dire sur le fonctionnement des établissements.
Il serait utile et légitime que la représentation de la commune, du département et de la région soit assurée au sein du conseil de l’école, mais le texte prévoit que les collectivités territoriales n’auront qu’un seul représentant. Nous souhaitons donc porter leur représentation à trois personnes.
Il convient de compléter l’annexe de programmation par un rappel des règles de concurrence afin d’éviter les risques de situation de concurrence déloyale entre l’édition publique et l’édition privée.
Je voudrais tout de même rappeler que le recteur est le représentant du Gouvernement dans l’académie. Par conséquent, la rédaction actuelle du texte aboutira à la désignation d’un représentant du ministre à la tête du conseil de l’école.
Certains rapprochements de termes ne sont pas toujours très heureux… Nous proposons de remplacer les mots : « politique et budgétaire » par les mots : « et de programmation ». Cela permettra d’éviter de faire figurer dans le texte l’expression « orientation politique ».
Il est défendu.
Inscrire le mot « genre » à l’alinéa 195 renvoie inutilement à une polémique. C’est pourquoi nous souhaiterions qu’il soit supprimé.
Nous voulons supprimer une précision inutile enfermant dans des limites le parcours individuel d'information, d'orientation et de découverte du monde économique et professionnel.
M. Jacques Legendre. Nous sommes nous aussi attentifs aux questions que vient d’évoquer M. le ministre, en particulier à l’incidence de la position que nous avions arrêtée en toute bonne foi en commission s’agissant des partitions de musique. Si un amendement peut régler globalement le problème, il nous satisfera tout à fait. Puisqu’il y a une ...
S’il est bien vrai que nous tenons aux valeurs républicaines et qu’il est légitime qu’elles soient enseignées en France, il est en revanche plus curieux de vouloir en faire la promotion dans des États étrangers. Une telle mesure ne nous paraît pas avoir sa place dans le projet de loi.
La critique des dispositifs existants apparaît comme une volonté systématique de faire table rase des réformes engagées précédemment.
Il est défendu.
Décidément, Mme la rapporteur a une certaine propension à orienter mes propos. Je ne veux pas supprimer les psychologues de l’éducation nationale, à minuit et demi, au détour d’un amendement. Je souhaite simplement qu’ils ne soient pas ici mentionnés. Laissons-les vivre !
Je voterai cet amendement, comme j’ai approuvé l’amendement déposé par le Gouvernement à partir de ce que nous avions proposé en commission et qui avait été retenu. Je regrette simplement, monsieur le ministre, que l’objet de votre amendement soit désobligeant : « […], l’amendement proposé par l’UMP transforme ce qui était un objectif opératio...
De nombreux débats ont déjà eu lieu sur les différentes méthodes d’apprentissage de la lecture. Nous souhaiterions qu’une étude comparative, dépassionnée, sur l’efficacité des différentes méthodes puisse être présentée au Parlement afin de déterminer quelle est la meilleure. Il s’agit d’un élément important en faveur la lutte contre l’illettri...
Décidément, madame le rapporteur, vous adoptez parfois des positions étonnantes quant au fond. Comment peut-on penser que la question de la meilleure méthode d’apprentissage du français et de la lecture n’est pas du ressort du Parlement ? Cela nous concerne au contraire directement ! Je regrette donc le propos que vous venez de tenir.
Il est tout à fait incohérent de placer sur un plan d'égalité l'apprentissage de la citoyenneté et la maîtrise des connaissances disciplinaires. Nous proposons donc la suppression de l’alinéa 262.