Interventions de Jean Bizet

Elle tient la corde.

Aguerris !

En effet.

C'est malheureusement ce que nous ressentons.

Excellente question.

Notre groupe de suivi sera très réactif et formulera des propositions.

Qui apprend vite !

C'est pourquoi le président Larcher a lancé quelques invitations en Slovaquie.

Il a souvent de bonnes formules. Le temps économique va décidément plus vite que le temps politique.

Je vous remercie.

Nous sommes heureux de vous recevoir. Il est très important pour la conduite de nos travaux d'avoir des contacts réguliers avec vous. Vous nous avez accueillis l'an passé à Bruxelles, nous vous avons ensuite auditionné au Sénat. Veillons à maintenir un rythme de rencontres qui nous permette d'échanger très régulièrement. Je vous remercie aussi ...

Nous ne le connaissions pas avant. C'est un apport giscardien.

On a le sentiment qu'avec les Allemands, la convergence de vue n'est pas parfaite.

L'ambassadeur allemand en France, Nikolaus Meyer-Landrut, a confirmé ce besoin devant nous, chiffres à l'appui.

Comment faire en sorte que Paris redevienne une place financière de premier plan ? Nous n'avons pas de raison de ne pas jouer notre carte.

Plus qu'il n'est nécessaire !

Il y a du mariage dans l'air.

Le fait que les sanctions visant les parlementaires ne soient reconduites que pour trois mois est-il l'amorce d'une sortie de crise ?

Merci pour la qualité et la netteté de vos réponses. Nous nous reverrons sans doute plus fréquemment qu'en temps normal, ce qui est une bonne nouvelle ! Notre groupe de suivi sera très actif. La réunion est levée à 11 h 35.

Nous vous remercions d'avoir répondu à notre invitation. C'est un rendez-vous habituel que nous avons avec l'ambassadeur à Paris du pays qui prend la présidence de l'Union européenne. C'est le tour de la Slovaquie et nous vous souhaitons un plein succès dans cette passionnante mais difficile mission. Votre présidence débute quelques jours aprè...