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Interventions en hémicycle de Jean Louis Masson


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et que le Gouvernement a changé, ceux qui soutenaient cette mesure, notamment les membres de l’ancienne majorité de M. Sarkozy, ont fait de la surenchère en excitant tout le monde ; à cela s’est ajoutée Mme Ségolène Royal, dont nous n’avions vraiment pas besoin !

Nous sommes victimes d’une absence totale de proximité. Je pense qu’il faut vraiment changer de braquet.

Ce qui est scandaleux, c’est qu’aucun gouvernement n’ait eu le courage d’admettre que nous sommes passés à côté d’une occasion, ni, d’ailleurs, d’être prêt à permettre aux régions de prévoir, à titre expérimental, une écotaxe sur les poids lourds. L’Allemagne, elle, a mis en place une écotaxe, qui s’appelle la LKW- Maut, sur les poids ...

M. Jean Louis Masson. Il est affligeant que l’on ne fasse rien en la matière, affligeant pour vous, madame le ministre, mais également pour ceux qui vous ont précédée !

M. Jean Louis Masson. J’étais présent, arrêtez de dire n’importe quoi ! Je n’ai simplement pas voulu interrompre mon collègue André Reichardt dans la présentation des amendements !

Monsieur Savoldelli, en 2013, la question portait sur la fusion des départements. Il ne s’agissait pas de supprimer la région Alsace !

Dire que les Alsaciens ont déjà voté en 2013 sur ce point, c’est une déformation de la vérité, voire un mensonge ! Pour ma part, il me paraît évident qu’il y a un « désir d’Alsace ». Ce texte est donc un minuscule pas non en ce sens, mais pour faire quelque chose… Je comprends malgré tout ceux qui nous disent : finalement, ce texte est mieux ...

Pour ma part, je suis partisan d’un référendum dans chacune des régions pour savoir si les habitants veulent ou non un retour à l’ancien découpage. L’aberration a été de concevoir de grandes régions qui n’ont aucun sens, aucune solidarité interne et qui sont démesurément étendues. C’est une gigantesque erreur, même si tout le monde ici fait se...

L’amendement n° 29 rectifié est très semblable au précédent. Je constate que, dans cette enceinte, peu nombreux sont les sénateurs qui sont disposés à permettre l’expression du suffrage universel ! C’est intéressant pour les « gilets jaunes », …

… qui demandent la possibilité d’organiser des référendums d’initiative citoyenne, des RIC. Ils ont raison, selon moi ! Si l’on permettait l’organisation de référendums à la demande d’une partie de la population, le Parlement ne pourrait plus étouffer ainsi l’expression de la démocratie.

Monsieur le président, madame le secrétaire d’État, mes chers collègues, je l’ai déjà dit à cette tribune : pour ce qui concerne les difficultés que l’on rencontre actuellement avec la Grande-Bretagne, on peut estimer que les torts sont partagés. Évidemment, le Parlement britannique, c’est un peu la foire d’empoigne…

Je ne suis pas là pour dire que le Parlement britannique a tout à fait raison. Mais il faut quand même le reconnaître : certains dirigeants européens, notamment M. Barnier, ont tout fait pour mettre de l’huile sur le feu.

Mes chers collègues, nous ne sommes pas nombreux à défendre ces positions, il est donc normal que nous intervenions souvent ! Nous avons le droit de nous exprimer sur les articles. Cet article 1er est emblématique, parce que son sort va déterminer la suite de la discussion. Ne nous faisons pas d’illusions : ce qui sera voté en l’espèce va défi...

Quand on dit : « On va s’entendre avec un pays » et que, parmi les conditions, on impose la création d’une frontière à l’intérieur de ce pays, on ne peut pas dire que l’on est de bonne foi ! Je n’aime pas le terme backstop, qui n’a rien à voir avec la langue française : mais, puisque tout le monde l’utilise, je vais l’employer moi aussi… L’aff...

Ils voulaient que le Brexit se passe plus ou moins bien, et plutôt mal que bien. Ils voulaient imposer à la Grande-Bretagne des contraintes absolument inacceptables, moyennant quoi on en est où l’on en est. De son côté, le Parlement britannique s’est, malheureusement, discrédité pour toute une série de raisons ; à présent, on a tous l’impressi...

Monsieur le président, j’aimerais bien que l’on ne m’interrompe pas. Je n’ai pas beaucoup de temps de parole : si, en plus, on m’interrompt, …

Cela ne me fait pas rire ! Certes, je suis le seul ici à parler au nom des non-inscrits. Nous n’avons que très peu de temps, …