672 interventions trouvées.
Certains professeurs n'ont-ils pas la tentation de lancer leurs propres cours ? Existe-il une charte de déontologie en la matière à l'École polytechnique ?
L'e-learning évolue-t-il vite ?
Il ne s'agirait pas non plus de se précipiter et de faire n'importe quoi.
L'Université française ne semble pas beaucoup réagir.
Dans certaines, l'e-learning se résume à la mise à disposition en ligne des cours polycopiés.
La totalité des matières du master sera-t-elle concernée ?
Nous sommes là dans une problématique quelque peu différente de celle qui nous préoccupe en matière de formation professionnelle.
Il y a un lien social à préserver dans toute formation.
Mais coûteuse !
La certification de la connaissance est loin d'être facile, car elle suppose des centres d'examen dispersés.
Mais les apprenants « intérieurs » passent un examen. Ont-ils les mêmes cours, les mêmes méthodes ?
Cela existe déjà, notamment au CNED, le Centre national d'enseignement à distance, même si ce dernier propose plus de « l'oral projeté par écrit » que de véritables cours en ligne.
Et des gens sur place qui font travailler les élèves.
Subsiste tout de même un enseignement présentiel et une appréciation des connaissances à la fin de l'année.
Et l'émulation.
Nous n'en sommes qu'au début d'une révolution sur le plan pédagogique.
Vous êtes dans la logique de Michel Serres.
Pour le moment, oui, et il faut faire attention. Je suis membre de la commission de l'éducation, de la communication et des affaires culturelles de l'Assemblée parlementaire de la francophonie et, à ce titre, je reçois des informations sur ce qui se passe un peu partout en la matière. Ainsi m'a-t-on cité le cas d'un professeur de l'université d...
Êtes-vous en rapport avec vos collègues de Lausanne ?
Peut-être pourrions-nous aborder le second point de l'ordre du jour, à savoir l'intérêt plus ou moins marqué que portent les élèves ingénieurs pour le secteur de l'industrie.