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Mme Laurence Cohen. Aussi, je pense que Martin Lévrier ne peut que me suivre !
Bien qu'il s'agisse, le plus souvent, d'une expérience traumatisante, et alors même qu'on estime – cela a déjà été rappelé – qu'une femme sur dix a vécu une fausse couche, ce traumatisme reste aujourd'hui, malgré tout, un véritable tabou en France. Pour les futurs parents, cette épreuve est souvent un drame silencieux dont les douleurs sont vé...
Merci, monsieur le rapporteur, madame la ministre, pour vos explications, mais je trouve qu'il y a un paradoxe. Si l'on examine aujourd'hui ce texte, c'est parce que l'on considère qu'il faut faire en sorte que la fausse couche ne soit plus un tabou ; il faut accompagner les femmes qui subissent ce traumatisme, mais aussi, au-delà de ces femme...
Mme Laurence Cohen. C’est votre premier avis favorable !
Mme Laurence Cohen. C’est votre premier avis favorable !
Cet amendement quasi identique reprend la rédaction de l’article 1er bis adopté par l’Assemblée nationale en séance publique. Sans entrer dans le détail du contenu de cet article, la commission des affaires sociales du Sénat a estimé que l’obligation d’information s’appliquait déjà aux professionnels de santé. Or force est de constater ...
Cet amendement quasi identique reprend la rédaction de l’article 1er bis adopté par l’Assemblée nationale en séance publique. Sans entrer dans le détail du contenu de cet article, la commission des affaires sociales du Sénat a estimé que l’obligation d’information s’appliquait déjà aux professionnels de santé. Or force est de constater ...
Enfin, en ce qui concerne la prise en charge dans un établissement de santé et la réalisation d’examens complémentaires, nous estimons que la commission n’a refusé ces mesures qu’en raison de leur coût, à la faveur d’une vision comptable de la santé, en contradiction avec les recommandations de bonne pratique des sociétés savantes. En tout éta...
Enfin, en ce qui concerne la prise en charge dans un établissement de santé et la réalisation d’examens complémentaires, nous estimons que la commission n’a refusé ces mesures qu’en raison de leur coût, à la faveur d’une vision comptable de la santé, en contradiction avec les recommandations de bonne pratique des sociétés savantes. En tout éta...
Mme Laurence Cohen. C’est très partisan, monsieur le rapporteur !
Mme Laurence Cohen. C’est très partisan, monsieur le rapporteur !
L'interruption spontanée de grossesse affecte en premier lieu les femmes, mais aussi leur partenaire, voire toute la cellule familiale. En effet, les études montrent que 20 % à 55 % des femmes ayant subi une fausse couche présentent un syndrome dépressif, 15 % d'entre elles développant même un véritable stress post-traumatique, et que 17 % de ...
Mme Laurence Cohen. Aussi, je pense que Martin Lévrier ne peut que me suivre !
Il ne faut pas voter les projets de loi de financement de la sécurité sociale, alors !
Il ne faut pas voter les projets de loi de financement de la sécurité sociale, alors !
Mme Laurence Cohen. C'est votre premier avis favorable !
Cet amendement quasi identique reprend la rédaction de l'article 1er bis adopté par l'Assemblée nationale en séance publique. Sans entrer dans le détail du contenu de cet article, la commission des affaires sociales du Sénat a estimé que l'obligation d'information s'appliquait déjà aux professionnels de santé. Or force est de constater ...
Enfin, en ce qui concerne la prise en charge dans un établissement de santé et la réalisation d'examens complémentaires, nous estimons que la commission n'a refusé ces mesures qu'en raison de leur coût, à la faveur d'une vision comptable de la santé, en contradiction avec les recommandations de bonne pratique des sociétés savantes. En tout éta...
Mme Laurence Cohen. C'est très partisan, monsieur le rapporteur !
Il ne faut pas voter les projets de loi de financement de la sécurité sociale, alors !