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Interventions en commissions de Louis Pinton


54 interventions trouvées.

Dans l'Indre, Vanik Berberian pourra en témoigner, l'absence d'un sous-préfet pendant trois ans n'a pas causé de variations notables dans l'action publique locale... La loi NOTRe, qui relève de ce que l'on pourrait appeler la marotte du changement, a eu un effet dévastateur en éteignant, à travers les transferts de compétences, l'action publiqu...

Nous vous posons des questions concrètes et vous nous répondez qu'il n'y a pas de remède ? Nous allons rentrer chez nous !

Les observations des uns et des autres illustrent bien notre trouble. La révision générale des politiques publiques (RGPP) a certes diminué les effectifs de l'administration, mais les difficultés que cette dernière rencontre ne sont que le signe de la complexité : c'est parce que c'était complexe qu'il y avait beaucoup de gens pour s'en occuper...

Chaque fédération organise ses compétitions et fixe leurs règles et leurs normes. Il n'y a pas de chevauchement avec l'action publique.

Si les règles ne sont pas respectées, la fédération organise ses compétitions ailleurs, voilà tout.

J'approuve cette mesure, sans être spécialiste des questions de logement. Comme président de conseil général, j'ai rencontré des femmes en difficulté, notamment des retraitées, non propriétaires de leur logement, et qui étaient dans des difficultés insurmontables. Là réside toute la réalité humaine de ce sujet... Certains départements peuvent a...

Les schémas sont signés conjointement par le département et l'État...

La situation, dont la lente dérive a mené à une telle complexité, épuise le dynamisme des élus. Elle doit être soumise à un diagnostic sans concession. Quand les pays ont été créés, les maires s'y sont intéressés. Le maire y siégeait. Puis, au bout d'un mandat, quand il a compris que cela ne servait à rien, il y a envoyé un adjoint. Au bout d'...

Vous appliquez les principes de fonctionnement de notre organisation républicaine, je ne vois pas là d'attitude réactionnaire ! La démocratie participative, c'est un concept à la mode pour amuser le bourgeois.

Entre le médecin et son patient, il n'y a pas de négociation, ni même une discussion équilibrée : le médecin indique son diagnostic, expose le traitement qu'il prescrit, et si ces explications sont claires et structurées, compréhensibles, le patient y adhère. Tout le reste est négation de la démocratie.

Cela montre aussi que le monde change : le marché des peaux de lapins a été abandonné puisqu'on ne mange plus de lapins...

Je m'étonne d'entendre certains de nos collègues arguer que ne pas débattre serait très mal vu. Personnellement, la crainte d'être mal vu n'est pas de nature à influer sur ma position. Sur le tiers payant et la participation, certains estimeront peut-être qu'elle est surannée, mais je m'y tiendrai. Quand je vais consulter mon médecin, je lui ve...

Rappelons le mot de Marcel Aymé : « Le vin pousse à la politique, et la politique pousse au vin »...

Je trouve notre débat étrange, M. Touraine a clairement démontré tout l'intérêt de la vaccination. Cet intérêt considérable n'est pas remis en cause par le débat sur la toxicité de l'adjuvant aluminique. L'enjeu principal est donc de lutter contre les peurs irraisonnées qui touchent d'ailleurs toutes les catégories de la population. Ce n'est pa...

Comme disait Paul Valéry, « Ce qui est simple est faux et ce qui est compliqué est inutilisable ». Il nous faut éviter ces deux écueils et accroître la liberté d'action des élus locaux, en gardant bien à l'esprit que la création des normes, le contrôle de l'application des normes et le contrôle des contrôleurs mobilisent des moyens humains plét...

Je souhaiterais formuler une remarque au sujet de la proposition des rapporteurs d'insérer la mention « sous réserve des contraintes liées aux nécessités du service » à l'alinéa 7 de l'article 9. Il sera nécessaire de définir ce que sont les « contraintes liées aux nécessités du service », ce qui pourrait donner lieu à des discussions byzantine...

Cette proposition de loi ne règlera à mon sens ni le problème de santé publique, ni les problèmes sociaux, ni ne mettra fin au trafic, ce qui fait qu'il n'y aura pas de baisse de l'usage. Il m'apparaît que vouloir créer une nouvelle administration pour arriver à cette absence de résultats serait une mauvaise idée. S'il faut légaliser le cannabi...

Je soutiens totalement ce point de vue : il faut laisser les collectivités territoriales s'organiser de manière pragmatique.