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Je rejoins mes collègues sur la nécessité de ne pas segmenter la discussion sur ce texte sensible. Pour ma part, je ne pourrai être présente demain matin, étant retenue par une réunion du Comité national d'éthique. J'aimerais plus de considération, à l'avenir, pour la commission des affaires sociales et les questions dont elle débat.
Afin de raccourcir la durée des travaux en séance publique, et espérer ainsi achever l'examen du texte dans les délais impartis, ne peut-on imaginer que les amendements qui recevront un avis défavorable de la commission soient retirés avant la séance publique ?
Dans ce cas, il serait opportun de limiter autant que possible la durée de la discussion générale.
J'observe de la même façon une pénurie de places pour accueillir les enfants trisomiques.
Je trouve particulièrement intéressant de débattre de ce sujet juste après les échanges que nous avons eus sur le handicap et je remercie le président Nicolas About pour le travail qu'il a accompli. La question sous-jacente au rapport du groupe de travail sur la fin de vie est celle de l'aide à la mort volontaire. En effet, c'est bien de la v...
Je ne vais pas m'opposer à la publication de ce rapport, mais je tiens à souligner que la pratique consistant à faire approuver le principe de la publication d'un rapport avec le contenu duquel on peut être en désaccord me paraît pour le moins surprenante.
Au risque de passer pour conservatrice, j'estime aussi que notre place est dans l'hémicycle, surtout quand il est libre. Par ailleurs, je me suis demandé pourquoi le débat du soir, sur l'Europe, avait eu les honneurs de l'hémicycle, et pas ceux de l'après-midi ? Sans compter que, dans la salle Médicis, le confort de l'orateur n'est pas idéal ca...
a souhaité savoir si, comme il l'a été rapporté, des expériences sur les animaux ont montré l'existence de problèmes respiratoires liés au vaccin.
a souhaité savoir si, comme il l'a été rapporté, des expériences sur les animaux ont montré l'existence de problèmes respiratoires liés au vaccin.
Je réagis aux propos de Gilbert Barbier et d'Anne-Marie Payet sur la prévention et l'intervention précoce. Les enfants victimes de violences sont confiés à l'aide sociale à l'enfance. Ils sont 10 000 dans ce cas à Paris. A Draguignan, un médecin gynécologue a lancé une expérience intéressante après avoir appris qu'une femme qu'il avait suivie p...
Les services de maternité accueillent chaque année 800 000 femmes pendant neuf mois. Cela permet de voir les choses.
Théoriquement, les conseils généraux doivent, depuis 1989, dispenser une formation pluridisciplinaire à tous les intervenants dans la protection de l'enfance, dont les policiers et gendarmes. Ce n'est jamais fait. Lorsque j'ai élaboré mon rapport sur la sécurité des mineurs, j'ai travaillé avec un policier. Chacun de nous a beaucoup appris de l...
a demandé si les femmes enceintes qui avaient été vaccinées devraient l'être à nouveau et si les enfants dont la mère s'était fait vacciner seraient suivis.
a demandé si les femmes enceintes qui avaient été vaccinées devraient l'être à nouveau et si les enfants dont la mère s'était fait vacciner seraient suivis.
a demandé, en prenant l'exemple d'une femme enceinte qui se serait fait vacciner contre la grippe A (H1N1)v en raison de son état, si une personne qui ne renouvellerait pas sa vaccination s'exposerait à un risque.
a demandé, en prenant l'exemple d'une femme enceinte qui se serait fait vacciner contre la grippe A (H1N1)v en raison de son état, si une personne qui ne renouvellerait pas sa vaccination s'exposerait à un risque.
a alors interrogé M. Dominique Dupagne sur le discours que devraient, selon lui, tenir à la rentrée les pouvoirs publics pour se montrer conséquents.
a alors interrogé M. Dominique Dupagne sur le discours que devraient, selon lui, tenir à la rentrée les pouvoirs publics pour se montrer conséquents.
souhaitant savoir s'ils devraient par conséquent conseiller aux gens de ne pas se faire vacciner, M. Dominique Dupagne a précisé qu'il faudrait continuer à recommander la vaccination aux sujets à risque comme ceux qui ont des problèmes respiratoires graves car, pour eux, la grippe peut représenter un danger mortel.
souhaitant savoir s'ils devraient par conséquent conseiller aux gens de ne pas se faire vacciner, M. Dominique Dupagne a précisé qu'il faudrait continuer à recommander la vaccination aux sujets à risque comme ceux qui ont des problèmes respiratoires graves car, pour eux, la grippe peut représenter un danger mortel.