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Il y avait urgence !
Très bien !
M. Max Brisson. Je n’avais pas l’intention d’intervenir, mais, après les propos de Mme de La Gontrie et de Mme Rossignol, je veux témoigner à Philippe Bas toute notre solidarité et notre amitié.
Je ne suis pas juriste comme lui, mais je sais deux ou trois choses. Tout d’abord, la France n’est pas l’Amérique. Les contextes constitutionnels et juridiques ne sont absolument pas les mêmes. La France n’est pas un État fédéral, elle n’a pas à trancher entre celui-ci et les États fédérés. Son rapport à la Constitution est historiquement tout...
M. Max Brisson. Ensuite, je veux dire avec force que je suis favorable à l’ensemble des lois qui autorisent le droit à l’IVG et que je me battrai pour les défendre si elles étaient menacées.
C’est ma conviction, mais j’ai aussi la conviction que notre Constitution ne peut être soumise au débat et aux émotions qui viennent d’outre-Atlantique. Vous voulez, madame Rossignol, le monopole de la défense des droits des femmes dans cette assemblée. Or notre majorité sénatoriale, en particulier avec les travaux de la délégation aux droits ...
Et Giscard d’Estaing ? Et Chirac ?
M. Max Brisson. En 1974 ? Je n’étais même pas né !
Tout à fait !
Ce n’est pas interdit !
C’est toujours la faute des autres, et même des Japonais !
Oh non !
C’est grotesque !
Ça suffit ! C’est lamentable.
Grotesque !
Madame la présidente, monsieur le ministre, mes chers collègues, je tiens tout d’abord à remercier le président Retailleau et le groupe Les Républicains d’avoir inscrit à notre ordre du jour ce débat sur le bilan des politiques éducatives du quinquennat. Fait rare, vous êtes, monsieur le ministre, le seul titulaire depuis cinq ans du portefeui...
Comme celles d’autres avant vous, vos réformes se sont enlisées. Contre cet enlisement, il n’y a qu’un antidote : plus de liberté pour les écoles et les établissements, et une nouvelle conception du métier de professeur et de sa place dans la société. Vous en rêviez en 2017, monsieur le ministre, mais vous n’avez pas eu les marges de manœuvre p...
Restez calme, monsieur le ministre !
Au lieu de vous mettre en colère, vous auriez mieux fait de nous répondre !
Vous avez dépassé votre temps de parole de plus de deux minutes !