876 interventions trouvées.
Justement, c'est pourquoi je demande le retrait ou m'en remettrai à la sagesse.
L'amendement n° 7 porte sur la clause de conscience des médecins. L'article 47 du code de déontologie médicale indique déjà qu'un médecin peut, pour des raisons personnelles, ne pas dispenser ses soins sauf cas d'urgence et celui où il manquerait à ses devoirs d'humanité. A titre personnel, il me semble qu'un médecin demandant le retrait pour c...
Il s'agit d'accompagner la mort, pas de la provoquer. Elle interviendra du fait de la multiplication des défaillances multi-viscérales ou par arrêt des traitements.
Préciser cela dans le texte revient à assimiler la sédation profonde à une euthanasie.
Parce que vous considérez que la sédation profonde, c'est donner la mort.
Il est clair que le territoire n'est pas suffisamment couvert. La sédation profonde et continue ne peut pas être considérée comme un acte d'euthanasie. La possibilité de choisir à la carte en fonction de ses convictions philosophiques ou religieuses me dérange. Un médecin refuserait-il la péridurale à une patiente, en alléguant le « Tu accouche...
L'amendement n° 75 prévoit des dispositions que la loi prend déjà en compte implicitement. Demande de retrait ou avis défavorable.
Le stade avancé de la maladie de Charcot peut durer un certain temps, et le patient peut être amené à demander en pleine conscience qu'on lui administre une sédation. Cela justifie l'avis défavorable à l'amendement n° 94 rectifié ter.
La notion de stade avancé existait déjà dans la loi de 2005. Nous visons le cas des maladies graves et incurables.
Si la maladie de Charcot n'existait pas, je serais d'accord avec vous.
L'expression « qui peut avoir pour effet » me paraît mieux adaptée, en ce qu'elle renvoie à l'idée d'un effet non voulu. Avis défavorable à l'amendement n° 100 rectifié bis.
Le terme « secondaire » n'est pas approprié. Un effet secondaire ne signifie pas qu'il entraîne la mort. Avis défavorable à l'amendement n° 65.
Et c'est pour cela que la sédation profonde n'est pas l'euthanasie.
Je vous renvoie au Vidal. Y est-il jamais fait mention d'un effet secondaire ?
Ce n'est pas un effet secondaire.
En cas de problème, ce sont les initiés qui jugeront. Pour eux, la mort n'est pas un effet secondaire.
Je propose la sagesse sur l'amendement n° 45.
La volonté des mineurs est exprimée par les parents. J'aurais tendance à demander le retrait de l'amendement n° 76.
Il vous faut prévoir des dérogations au code civil.
Comment appliquerait-on l'amendement n° 70 ?