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501 interventions trouvées.

Pourriez-vous préciser la distinction entre les cinquante pas géométriques et le domaine public maritime ? Vous dites que les régularisations en cours sur les zones urbanisées ne concernent que deux ou trois dossiers par an. Ce chiffre me semble très faible. Vous soulignez à juste titre que les zones hyper-densifiées de Saint-Denis, Saint-Paul...

Je suis surpris des interrogations qui subsistent sur la CSPE. Dans le cadre du débat qui s'est tenu voilà quelques semaines à l'Assemblée nationale sur le projet de loi relatif à la transition énergétique, notre collègue Jean-François Husson a déposé un amendement que j'estime pour ma part méprisant à l'égard des territoires ultramarins. Il to...

Je ne peux pas demeurer silencieux sur La Réunion. La question du transport collectif, notamment du tram-train, revient comme un serpent de mer depuis l’arrêt du projet. Ma chère collègue, je ne trouve rien à redire au tableau historique du chemin de fer tel que vous l’avez dressé. Cette erreur stratégique monumentale a été commise voilà plus ...

Vous parlez de thrombose circulatoire à propos de La Réunion. Comme je parlais moi-même de « coma circulatoire » dans cet hémicycle hier soir, nous sommes sur la même longueur d’onde. En revanche, ma chère collègue, même si votre parole est libre, vous ne pouvez pas imputer à tel ou tel gouvernement la responsabilité d’avoir mis fin au projet ...

Un de vos propos sur le DMP m'a fait sursauter : vous voulez « reprendre le chantier à zéro ». C'est pourtant un serpent de mer ! En tant que professionnel, c'est une des choses qui me choquent le plus. Les autorités semblent subir les événements sans vouloir traiter les difficultés... De quand date ce dossier ?

Il y a plus de dix ans. Quels ont été les blocages ? Combien cela a-t-il coûté ? J'ai entendu parler il y a quelques années de 500 millions d'euros.

Ces situations heurtent nos concitoyens. Je retrouvais il y a peu, dans mon département d'outre-mer, une personne âgée aux urgences : on lui refaisait une analyse de sang et des radios que son généraliste lui avait déjà fait passer avant de l'envoyer à l'hôpital ! Il faut dire la vérité : le problème est bien réel. M. Vanlerenberghe parlait de ...

Je ne crois pas qu'un grand pays comme la France ne trouve pas de solution à un problème si coûteux. Au moment où la traçabilité de nos vies quotidiennes est totale, comment se fait-il que nous ne sachions pas que M. Vergoz a pris tel médicament et a subi tel examen ?

Les éléments de blocage sont connus après dix ans. J'ai l'impression que nous patinons dans la gadoue, faute de nous dire clairement ce qui ne va pas. Pour vous, c'est du passé, mais les blocages persistent.

Je viens d’une île qui ne connaîtra jamais ce type de débat un peu surréaliste.

Chez nous, il n’y a plus de ferroviaire, le rail a été supprimé parce que l’économie dominante tendait vers le tout-voiture pour le plus grand profit de quelques familles. Les bus se meurent dans une sorte de coma circulatoire. Il n’y a pas de transports collectifs. Chez vous

Certes ! Dans l’Hexagone, voulais-je dire, vous entrez dans des débats surréalistes ! Pensez-vous que ceux qui nous écoutent se reconnaissent dans vos propos ? Certains doivent se dire : « ils ne parlent pas pour moi, je ne peux pas me payer le TER ou le TET, mais je pourrais profiter de l’autocar ! »

Laissez-vous aller une seconde à penser que l’on ouvre de nouveaux espaces de mobilité à des gens qui en sont exclus. Monsieur le ministre, mettez en place des lignes d’autocar, menez à bien cette réforme ! Ce n’est pas la révolution tout de même !

Le service public est indispensable, nous le défendons tous et vous plus que moi ce soir, au moins en apparence. Pourtant, je ne peux plus vendre à mes compatriotes l’idée qu’il existera coûte que coûte. Ce n’est pas vrai ! Dans mon petit village, j’ai perdu la poste. C’est un point de repère qui a disparu. On le sait, ce service public est en ...

M. Michel Vergoz. Si le service public ne se remet pas lui-même en question, il ne pourra pas être sauvé. J’en suis un fervent partisan, mais vous semblez penser que, en le mettant en avant comme un mot magique, on trouvera de l’argent et que l’État, quel que soit demain le gouvernement, fera le nécessaire pour le sauver. Le service public ne s...

Vous riez, parce que vous pensez que l’État providence, c’est encore pour demain. Depuis quelques jours, vous tenez des propos qui me semblent surréalistes, et pas seulement sur le sujet qui nous occupe maintenant. Comme socialiste, je suis un ardent défenseur du service public, mais il faut aussi parler de sa rentabilité.

Je ne vais pas essayer de vous convaincre, ma chère collègue, mais cessons de faire croire aux Françaises et aux Français, d’ici ou d’outre-mer, qu’il suffit d’accoler à nos choix politiques le mot de service public pour que la réalité qu’il recouvre soit sauvée. Comme d’autres, j’avais été terriblement peiné à l’époque de voir que nos banques...