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Les bâtiments d'exploitation sont-ils correctement assurés contre les aléas climatiques ?
Les chambres d'agriculture remplissent-elles bien leur mission d'information et de documentation ?
Cette mission pourrait être assurée par la chambre d'agriculture.
Avez-vous réalisé cette évaluation pour toutes les côtes ?
Pourquoi ?
La demande émanait de la ville ?
Vous pourriez donc analyser toutes les côtes pour évaluer les risques à plus ou moins long terme ?
À combien d'années ?
Je vous remercie pour cet exposé. Je me réjouis que le BRGM soit présent dans tous les territoires. Compte tenu de votre méthodologie et de vos implantations locales, pourquoi ne contribuez-vous pas aux études lors de la procédure de reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle ? Je suis élue de Charente, territoire victime de la sécheress...
Les sinistrés ne comprennent pas. La sécheresse de 2016 a été plus forte que les précédentes, mais elle n'a pas été reconnue.
Tout à fait.
Cet outil ne pourrait-il pas être mieux utilisé dans le cadre de la procédure de reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle ?
Si l'on change les critères, ce sera pire.
Les constructeurs sont-ils suffisamment informés et formés ?
Le directeur général de la sécurité civile et de la gestion des crises (DGSCGC) nous a indiqué travailler sur de nouveaux critères pour ce qui concerne la sécheresse, en prenant en compte les niveaux de pluviométrie, la température globale, le niveau des nappes phréatiques, le niveau de rivière, l'évaporation des végétaux. Êtes-vous associés à ...
Pas seulement les critères météorologiques donc ?
Ne pourrait-on pas dès lors prévoir des critères nationaux mais aussi territoriaux ?
Nous sommes là pour répondre au mieux et au plus juste en cas de dommages.
Un chercheur du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) nous a indiqué que nous connaîtrions dans un avenir proche une sécheresse tous les deux ans.
Disposez-vous de moyens suffisants ?