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On n'en tient pas compte dans les autorisations de mise sur le marché ?
Que changer ?
La vinclozoline est-elle encore utilisée ?
Quid des autorisations de mise sur le marché ?
Ce sont les fabricants qui les font...
Pourquoi les données recueillies depuis longtemps par les scientifiques, les médecins, les chercheurs, ne sont-elles pas intégrées dans le programme REACH ? Quel est le suivi des risques ?
Qu'entendez-vous par « prudence scientifique » ?
N'y a-t-il pas des contrôles ?
L'ANSES pourrait peut-être remplir cette fonction de haute autorité ?
Mais maintenant, on colle sur les paquets de cigarette des photos épouvantables.
J'ai été choquée par une publicité récente qui montre un enfant dans un champ tandis que le slogan annonce : « L'abus de pesticides est dangereux pour la santé ». L'abus seulement ?
Vous avez dit, à propos des autorisations de mise sur le marché (AMM), qu'il suffirait d'ajouter deux lettres à la réglementation.
Y en a-t-il aujourd'hui qui sont utilisées ?
Les scientifiques doivent-ils être plus prudents ?
N'est-il donc pas possible d'établir un lien de causalité ?
Il faut une batterie d'indicateurs très large ou alors beaucoup de morts...
Oui, c'est au politique d'aller au-delà de la prudence scientifique.
Ce qui est terrible, c'est qu'une partie de ces produits sont encore sur le marché. Vous évoquiez deux listes de 47 et de 34 substances sur 200...
Si la salade est sulfatée, c'est encore pire.
M. André Cicollela nous disait que, s'agissant des perturbateurs endocriniens, ce n'est pas la dose qui fait le poison et que le problème est ailleurs. N'est-ce pas contradictoire avec votre propos ?