Interventions en commissions de Nicole Bonnefoy

Ces fermes peuvent donc mettre en place des méthodes alternatives ?

L'objectif, c'est zéro pesticide.

La consommation de pesticides est-elle en baisse ?

Au cours de ces deux jours de formation, des informations sont-elles aussi délivrées sur les méthodes alternatives ?

Va-t-elle devenir payante ?

Quid des lycées agricoles ?

Signe d'une évolution de la société... Les agriculteurs sont de plus en plus conscients de la dangerosité des produits, et comprennent qu'il faut se protéger. Les choses évoluent.

Les viticulteurs sont exposés au cancer de la vessie.

Mais la moitié des agriculteurs recensés dans cette étude ne sont pas exposés aux produits phytosanitaires. Ses résultats ont surpris, et les entreprises de produits phytosanitaires les exploitent. Il n'en demeure pas moins que les agriculteurs sont plus exposés que les autres à certaines maladies, comme la maladie de Parkinson.

Pourquoi les études ne portent-elles pas sur ceux qui utilisent les produits ?

Cela servira-t-il à l'indemnisation des victimes ?

Ce qui pose quand même problème...

Lorsqu'on observe les récents scandales liés aux médicaments, on peut se poser des questions...

La qualité sanitaire laisse parfois à désirer...

Vu la disparition des insectes pollinisateurs, on peut en douter...

Mais vos adhérents ne sont-ils pas juges et parties, puisqu'ils réalisent eux-mêmes ces tests ? Pourquoi ne pas confier l'évaluation à un organisme indépendant ?

Pourquoi se limitent-ils à confirmer vos propres résultats ?

Il ne s'agit pas de les financer.

Mais vous reconnaissez sans doute le problème illustré par le récent scandale du médicament.

Là encore, n'est-il pas gênant que la même entité soit chargée de ces différentes missions ?