1982 interventions trouvées.
Allez-vous jusqu'à inciter les agriculteurs à réduire leur consommation de pesticides ? Ces derniers constituent pourtant votre gagne-pain...
En volume peut-être, mais pas en nombre de doses unités (NODU).
Ne le sont-ils pas de plus en plus ?
Mais les responsables de la MSA, tout à l'heure, nous ont parlé de la « dangerosité » des produits phytosanitaires et de la nécessité de s'en protéger.
Mais ils ne le sont pas toujours, et c'est bien là le problème.
Comment donc expliquez-vous les maladies ?
Je reviens aux formations que vous offrez. Si j'ai bien compris, la formation est dispensée par un agriculteur « labellisé ».
Mais êtes-vous habilités à délivrer ce genre de formation, et par qui ?
Mais est-il juste que tout un chacun puisse proposer sa propre formation ?
Combien d'agriculteurs sont-ils reçus dans une ferme pour chaque formation, et pour combien de temps ?
Ces fermes, combien sont-elles ?
Y en a-t-il sur tout le territoire ?
A côté de ces fermes-pilotes, faites-vous aussi la promotion de méthodes de culture alternatives ?
Mais les distributeurs qui animent ces formations vendent vos produits.
Où en sont les ventes annuelles déclarées ?
Vos adhérents, dites-vous, consacrent 10 % de leur chiffre d'affaires à la recherche. Pourquoi ne pas promouvoir de nouvelles pratiques ? Quel avenir ont, selon vous, les méthodes de culture alternatives ?
Mais les informations sont imprimées en très petits caractères... Beaucoup d'agriculteurs s'en plaignent.
Que pensez-vous de la condamnation de Monsanto dans l'affaire Paul François ?
Mais est-il normal qu'un produit interdit dans d'autres pays en raison de sa dangerosité ait longtemps continué à être commercialisé en France ?
M. François a dénoncé le lobbying des industriels et de l'UIPP.