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C’est un amendement de coordination, monsieur le président.
Lors d’un déplacement, le 30 juin dernier, dans le Lot-et-Garonne, le Président de la République a déclaré que la France ne pouvait pas continuer à vivre au-dessus de ses moyens, et rappelé que nous acquittons chaque année 45 milliards d’euros d’intérêts sur une dette qui s’élève à 1 600 milliards d’euros. Il s’est interrogé en ces termes : « ...
Qui va déplacer ce curseur ?
C’est cela !
Les gouvernements aussi devraient faire preuve de responsabilité dans la politique qu’ils mènent !
La question !
Vous allez continuer à faire payer les salariés !
Travailler plus pour gagner moins !
L'introduction de chapitres entiers à la veille de la réunion de la CMP est en effet une très mauvaise méthode, qui s'ajoute à l'abus de la procédure accélérée. Ce projet de loi est devenu un texte à tiroirs, une voiture-balai de fin de session. Nous voterons contre ces articles.
Quel laxisme !
Quelle horreur !
Aucun parlementaire ne peut accepter de voter un texte si long, dont il n'a eu connaissance que la veille. Il n'y a pas d'extrême urgence ; si les commissions des deux assemblées s'entendaient, il serait possible de déposer une proposition de loi dès le début de la prochaine session.
Merci !
Comme en première lecture, nous voterons contre cette réforme. En l'absence d'accord entre les deux assemblées, il est amusant d'entendre certains députés penser avoir le dernier mot sur cette loi. En réalité, il n'y a pas de majorité au Sénat et il n'y en aurait pas à Versailles pour adopter cette loi constitutionnelle. Pourquoi donc le Gouve...
Absolument.
D'autant que nous venons d'examiner un texte sur la santé publique... Et que le présent projet de loi est en procédure accélérée.
Chacun raconte sa petite histoire !
Mais personne ne dit le contraire !
Jamais de la vie, voyons !
Madame la ministre, je souhaitais interroger M. Bertrand sur le risque de disparition de la gynécologie médicale, contre lequel je me bats depuis longtemps. C’est un combat que j’ai même mené, à une certaine époque, avec le soutien de Mme Bachelot-Narquin. Comme vous le savez sans doute, jusqu’en 1987, 130 gynécologues médicaux étaient formés ...