Les amendements de Olivier Paccaud pour ce dossier
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Nous comprenons évidemment les contraintes budgétaires. Néanmoins, comme beaucoup de mes collègues, je regrette la brutalité de la mesure. Pour le conseil départemental de l’Oise, dont j’ai été vice-président et chargé des collèges, elle entraînera la disparition de 197 équivalents temps plein en l’espace de quelques mois. Cela posera un vrai p...
Je suis un enfant de l'école publique à double titre. D’abord parce que, comme beaucoup d'entre vous, mes chers collègues, j'ai fréquenté ses bancs, de l'école maternelle jusqu'à l'université, en passant par les classes préparatoires. Ensuite, parce que je suis petit-fils, fils, époux d'enseignants, et moi-même professeur agrégé d'histoire-gé...
Leur choix n’est pas guidé par des raisons religieuses. Ils veulent simplement un peu plus d'autorité – une autorité du maître qui ne soit pas contestée – et de discipline ; ils veulent que leurs enfants travaillent et apprennent. Ni plus ni moins !
Soyons donc lucides ! Pour terminer, je ferai deux rappels. Premièrement, les parents des enfants accueillis dans les établissements privés sont des contribuables et ils ont bien le droit, eux aussi, d’avoir un juste retour « scolaire » de leur contribution.
Deuxièmement, j'ai été pendant deux ans et demi le vice-président en charge des collèges de mon département, l'Oise, qui compte 44 000 collégiens, dont 37 000 suivent leur scolarité dans le secteur public et 7 000 dans le secteur privé. Si nous devions accueillir ces 7 000 gamins dans des établissements publics, nous serions contraints de const...
La profusion d’amendements sur ce sujet montre que le texte pose un petit problème. Effectivement, pour aller dans le même sens que mes collègues, celui-ci sous-tend une espèce de volonté de recentralisation ou de régionalisation. Je suis élu de la région des Hauts-de-France, nouvelle région, et plus précisément du département de l’Oise. Le pr...
Les parlementaires ne sont pas là que pour voter le budget ! Ils sont là pour parlementer, pour défendre leur territoire parce qu’ils le connaissent, comme l’a très bien dit M. Poniatowski. Effectivement, la DSIL doit être départementalisée. La plupart de mes collègues ici présents ont eu connaissance de la liste des dossiers qui ont été souten...