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...met le cofinancement par l'employeur et par le salarié d'un titre de paiement destiné à l'achat d'un repas par un salarié ne bénéficiant ni d'une cantine ni d'un restaurant d'entreprise. En contrepartie, la part financée par l'employeur est exclue de l'assiette des cotisations et des contributions sociales. En principe, le repas acheté avec un titre-restaurant doit correspondre à une préparation alimentaire directement consommable. On pense évidemment à un plat servi dans un restaurant, mais aussi à un plat préparé, acheté en grande surface ou dans un commerce de bouche. Créé en 1967, le titre-restaurant n'a pas été conçu comme un moyen de soutenir le pouvoir d'achat des Français. Mais l'inflation exceptionnelle des dernières années a dû conduire à un élargissement de son cadre, parmi d'autres mesu...
...met le cofinancement par l’employeur et par le salarié d’un titre de paiement destiné à l’achat d’un repas par un salarié ne bénéficiant ni d’une cantine ni d’un restaurant d’entreprise. En contrepartie, la part financée par l’employeur est exclue de l’assiette des cotisations et des contributions sociales. En principe, le repas acheté avec un titre-restaurant doit correspondre à une préparation alimentaire directement consommable. On pense évidemment à un plat servi dans un restaurant, mais aussi à un plat préparé, acheté en grande surface ou dans un commerce de bouche. Créé en 1967, le titre-restaurant n’a pas été conçu comme un moyen de soutenir le pouvoir d’achat des Français. Mais l’inflation exceptionnelle des dernières années a dû conduire à un élargissement de son cadre, parmi d’autres mesu...
...qu’elles assurent est menacée, notamment en milieu rural. La déconjugalisation de l’AAH, entrée en vigueur le 1er octobre dernier, permettra à 40 000 personnes de bénéficier d’une augmentation de leur allocation et étendra le dispositif à 80 000 autres personnes. Le coût de cette mesure représentera 500 millions d’euros en 2024. Autre évolution très significative, les crédits consacrés à l’aide alimentaire augmenteront de 20, 6 %, pour un total de 142 millions d’euros. Cette augmentation, qui a le mérite d’être importante, risque toutefois d’être insuffisante. Les banques alimentaires font en effet part de leurs inquiétudes depuis plusieurs mois sur les difficultés auxquelles elles font face en matière d’approvisionnement de denrées, notamment de la part de la grande distribution. À cela s’ajoute...
...qu'elles assurent est menacée, notamment en milieu rural. La déconjugalisation de l'AAH, entrée en vigueur le 1er octobre dernier, permettra à 40 000 personnes de bénéficier d'une augmentation de leur allocation et étendra le dispositif à 80 000 autres personnes. Le coût de cette mesure représentera 500 millions d'euros en 2024. Autre évolution très significative, les crédits consacrés à l'aide alimentaire augmenteront de 20, 6 %, pour un total de 142 millions d'euros. Cette augmentation, qui a le mérite d'être importante, risque toutefois d'être insuffisante. Les banques alimentaires font en effet part de leurs inquiétudes depuis plusieurs mois sur les difficultés auxquelles elles font face en matière d'approvisionnement de denrées, notamment de la part de la grande distribution. À cela s'ajoute...