35 interventions trouvées.
Il y a une délégation aux outre-mer à l'Assemblée nationale... travaillez-vous avec elle ?
Avez-vous un journaliste dédié au suivi de l'outre-mer ?
J'aurais une dernière question, mais je redoute la réponse... Quelles sont vos relations avec le pôle outre-mer de France Télévisions ?
Je me permets de rebondir sur vos relations avec France Ô. Vous nous indiquez des partenariats et collaborations avec la chaîne. Si la chaîne disparaît, est-ce un risque pour les outre-mer aussi sur vos antennes.
Nous souhaiterions que vous répondiez à deux questions écrites que nous vous avons transmises. Quelles conséquences le CNC envisage-t-il de l'arrêt de la diffusion de France Ô sur la TNT sur les capacités de production de contenus dédiés aux outre-mer ? Les critères d'éligibilité aux financements du CNC doivent-ils selon vous évoluer dans la perspective de la production de contenus dédiés principalement à une plateforme en ligne et non plus à une diffusion sur la TNT au niveau national ?
...si cette question concrète : quel a été l'effort de France Télévisions pour promouvoir cette chaîne ? Quelles annonces sur France 2 et France 3 pour relayer les programmes de France Ô ? Rien, si ce n'est l'annonce à 20 h 30 des programmes du soir sur l'ensemble des chaînes du groupe : quelques secondes. Étiez-vous contraints sur ce point ? Cette chaîne est dans l'hexagone une fenêtre sur les outre-mer, mais elle est aussi et surtout une passerelle, entre les outre-mer et l'hexagone et entre les territoires eux-mêmes. C'est une symbolique forte et nous avons aujourd'hui le sentiment, avec la décision précipitée du Gouvernement, qu'un grand gâchis est en train de se produire. Mais quels sont les moyens de cette chaîne ? On nous parle de 25 millions d'euros. Est-ce exact ? Cela représente 1,16...
Nous le disions à M. Riester jeudi dernier, les formules se sont succédé et accumulées dans les lois et cahiers des charges pour que les grandes chaînes publiques accèdent au respect d'un aspect de leur mission de service public, à savoir la visibilité de ces territoires de la République que sont les outre-mer. Le constat est pourtant bien là et nous connaissons la très faible présence des programmes ultramarins sur les grandes chaîne publiques, encore plus aux heures de grande écoute, et nous prenions à l'instant l'exemple de France 3 sur l'information. Ce constat, madame la présidente, aboutit à une conclusion pessimiste : comment, madame la présidente, peut-on avoir confiance dans le respect fut...
...e-t-on ? Surtout, de qui se moquaient les rédacteurs de ce COM, qui est de la responsabilité de votre ministère et de France Télévisions ? Quelle a été la réelle ambition des gouvernements successifs pour cette chaîne ? Et si, monsieur le ministre, le problème ce n'était pas France Ô mais le manque d'ambition qu'on lui porte ? Considérons que cette chaîne est une fenêtre dans l'hexagone sur les outre-mer, mais elle est aussi et surtout une passerelle, entre les outre-mer et l'hexagone et entre les territoires eux-mêmes. C'est une symbolique forte et je mesure le gâchis qui est en train de se produire. Monsieur le ministre, France Ô est souvent pointée du doigt pour ses audiences, vous les avez évoquées. On avance régulièrement le chiffre de 0,6 % de part d'audience. Nous avons eu des bilans de M...
Monsieur le ministre, vouloir renforcer la place des outre-mer sur les grandes chaînes est louable et c'est même une nécessité. Encore une fois, ce n'est que vouloir le respect des missions assignées au service public en la matière. Mais je voudrais que nous posions vraiment la question de ce canal dédié qu'est le canal 19 avec France Ô. Les heures de programmes quotidiens dédiés aux outre-mer ne seront pas toutes reprises sur les autres chaînes. Cette dis...
Monsieur le ministre, les formules se sont succédé dans les lois et cahiers des charges pour que les grandes chaînes publiques puissent mettre en oeuvre un aspect de leur mission de service public, la visibilité de ces territoires de la République que sont les outre-mer. Pourtant, nous savons tous que très peu de programmes ultramarins sont présents sur les grandes chaînes, encore plus aux heures de grande écoute. Quant au journal de l'outre-mer, il a même disparu des antennes de France 3 depuis 2016, je crois ! Ce constat, monsieur le ministre, aboutit à une conclusion pessimiste : comment peut-on avoir confiance dans des exigences qui, en plus de vingt ans, ...
Monsieur le président, madame la ministre, mes chers collègues, la plupart des outre-mer, face à une situation sociale très dégradée, constituent de véritables poudrières. Nous le vérifions en ce moment même : La Réunion s’est embrasée devant des mesures qui risquent d’accroître encore la cherté de la vie. Ces événements font suite aux émeutes survenues en Guyane, aux manifestations contre l’insécurité à Mayotte, aux urgences sécuritaires et sanitaires à Saint-Martin. Comment pourra...
Veillons, outre-mer, à ne pas construire sans précaution et à prendre en considération le risque d'ouragan et de glissement de terrain. La population diminue en Martinique, nombre de logements demeurent vides et sans propriétaire connu : pourquoi, dès lors, en construire de nouveaux ? Il conviendrait de réhabiliter l'existant avant d'étendre l'habitat sur les collines ! La population antillaise est pauvre, car les A...
...hes familiales en Martinique et que, par ailleurs, je suis professionnellement liée au monde de la culture puisque j'écris et que je mets en scène des spectacles. Il faut que l'audiovisuel public montre nos territoires autrement que dévastés après un cataclysme ! La délégation désigne M. Maurice Antiste et Mme Jocelyne Guidez, rapporteurs, de l'étude sur la représentation et de la visibilité des outre-mer dans l'audiovisuel public national.
Madame la présidente, madame la garde des sceaux, monsieur le rapporteur, mes chers collègues, si le sujet qui nous occupe aujourd’hui paraît, au premier abord, étroitement technique, il n’en est pas moins essentiel, en ce qu’il touche directement au quotidien de nos concitoyens d’outre-mer. Le foncier et l’indivision constituent deux problématiques majeures auxquelles sont confrontées les collectivités d’outre-mer et, à travers elles, leurs populations. Plus que de mesures juridico-financières, il est ici question de mesures sociales, avec des familles qui, ne pouvant se loger, se retrouvent bloquées dans leurs projets de vie. En Martinique, par exemple, 40 % du parc immobilier ...
Je m'interroge sur les équilibres démographiques dans les outre-mer. La Martinique perd 12 000 habitants chaque année. Comment rendre ces territoires plus attractifs pour les jeunes générations ?