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Interventions sur "israël" de Robert Bret


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a rappelé que les promesses de dons formulées lors de la Conférence de Paris sur la Palestine s'étaient élevées à 7 milliards de dollars, chiffre sans comparaison avec la modestie des projets en cours évoqués par le ministre, tant à Gaza qu'en Cisjordanie. Il en a conclu que ces projets se heurtaient à un refus politique implicite d'Israël et a souhaité que la future présidence française de l'Union européenne puisse contribuer à une sortie de l'impasse actuelle. Il a estimé que le développement de la future Union pour la Méditerranée nécessitait une évolution au Proche-Orient. Il s'est enfin interrogé sur le sort du jeune franco-palestinien Salah Hamouri, incarcéré depuis trois ans sans jugement.

...e que devrait jouer le représentant spécial du Quartet, M. Tony Blair. Il a souhaité savoir si l'arrêt de la colonisation constituait un préalable à la participation de la Ligue arabe à la réunion. Il a souligné la nécessité d'apporter une réponse globale aux problèmes du Proche-orient et a souhaité que l'Union européenne tire les leçons de ses expériences passées, notamment de la destruction par Israël, sans indemnisation, des infrastructures de l'Autorité palestinienne qu'elle avait financées.

a souligné les conséquences négatives du projet américain de « Grand Moyen-Orient ». Il s'est interrogé sur la capacité de l'ONU à résoudre les conflits, le déséquilibre dans l'application des résolutions relatives à Israël ayant conduit le processus de paix à une impasse. Il a estimé qu'Israël portait une responsabilité majeure dans le conflit et que le Hezbollah, composante du peuple libanais, n'était pas seulement une milice confessionnelle, et que son désarmement devait s'intégrer dans un processus politique. Il a fait part de son inquiétude pour les forces engagées sous casques bleus au Liban, s'interrogeant su...

...umanitaires. C'est seulement après la ferme et digne réaction du premier ministre libanais, Fouad Siniora, et au vu de sa proposition de plan en sept points que la situation a évolué positivement en faveur de la recherche d'un règlement politique du conflit. Pour nous, élus communistes, ce conflit a mis en lumière trois points essentiels. Tout d'abord, les États-Unis ont apporté leur soutien à Israël. George Bush, le 2 août dernier, déclarait que « la crise actuelle est un élément d'un affrontement plus large entre les forces de la liberté et celle de la terreur au Moyen-Orient ». Fidèles à la théorie de « l'Axe du mal » et au nom de la thèse du « grand Moyen-Orient », les États-Unis ont été partie prenante dans ce conflit, aux côtés d'Israël, en ouvrant un troisième front, au Liban, dans la ...

a relevé que la nouvelle déléguée générale de Palestine en France prenait son poste à un moment difficile pour son pays. Il s'est dit inquiet du risque de radicalisation de la population palestinienne elle-même, après la décision de l'Union européenne de suspendre son aide directe à l'Autorité palestinienne et le refus d'Israël de lui reverser les taxes qui lui sont dues. Il a considéré que la Palestine n'étant pas un Etat à part entière, il revenait à la communauté internationale de prendre ses responsabilités afin d'aider la population palestinienne à vivre, voire à survivre. Il s'est interrogé sur les initiatives que les parlementaires français pourraient prendre pour encourager les forces politiques qui, de part et ...