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Interventions sur "apprenti" de Serge Dassault


13 interventions trouvées.

M. Kennel a raison. L'Éducation nationale ne se soucie que des diplômes qui ne servent souvent à rien. Mes petits-enfants, qui sont à l'université, ne savent toujours pas ce qu'ils veulent faire plus tard ! C'est bien autre chose que d'avoir un métier. Ce qui empêche l'apprentissage de fonctionner en France, c'est le collège unique, qui est une véritable catastrophe. J'ai été maire de Corbeil-Essonnes : chaque année, c'était 400 à 500 jeunes qui sortaient du collège sans savoir rien faire, sinon devenir des délinquants. Il faudrait opérer une sélection et instaurer une formation professionnelle dès la sortie du primaire. Supprimons donc le collège unique ! Chaque année,...

a insisté sur la difficulté, pour les apprentis, de trouver des entreprises d'accueil et s'est interrogé sur les mesures susceptibles de surmonter ce blocage en motivant les employeurs.

a insisté sur la difficulté, pour les apprentis, de trouver des entreprises d'accueil et s'est interrogé sur les mesures susceptibles de surmonter ce blocage en motivant les employeurs.

a demandé si les centres de formation des apprentis (CFA) étaient en nombre suffisant pour les professions du bâtiment et à quel niveau se situait le pouvoir de décision dans ce domaine.

a demandé si les centres de formation des apprentis (CFA) étaient en nombre suffisant pour les professions du bâtiment et à quel niveau se situait le pouvoir de décision dans ce domaine.

a demandé des précisions sur l'action du groupe Renault en matière d'apprentissage et d'alternance.

Cet amendement vise à étendre la vocation du Fonds national de développement et de modernisation de l'apprentissage au financement d'actions nationales de communication pour la promotion de l'apprentissage. Ces actions, indispensables pour renforcer l'attractivité de cette filière de formation auprès des jeunes, des familles et des employeurs, sont en effet de nature à contribuer au développement de l'apprentissage dans notre pays et à la création d'emplois. Aujourd'hui, les campagnes de promotion, rest...

...en viens à ma troisième observation. Dans le cadre du plan de cohésion sociale, le budget pour 2005 traduit une simplification bienvenue des aides aux publics prioritaires. Sept dispositifs succéderont aux quatorze actuels. Pour les jeunes, un contrat de professionnalisation unique, exonéré totalement de charges sur salaires pour les moins de vingt-cinq ans, coexiste désormais avec le contrat d'apprentissage et le contrat jeune en entreprise. S'agissant des publics en difficulté, les chômeurs de longue durée disposeront, pour le secteur non marchand, du contrat d'accès à l'emploi, qui succède aux contrats emploi-solidarité et aux contrats emplois consolidés. Pour le secteur marchand, la dénomination du contrat initiative-emploi est conservée, mais ce contrat fait l'objet d'améliorations sensib...

Les députés ont adopté un amendement de suppression de l'article 75, qui a été rétabli en seconde délibération sur l'initiative du Gouvernement. Les arguments opposés à l'article 75 sont les suivants : le dispositif complexifie la gestion des contrats d'apprentissage pour les entreprises ; il serait paradoxal que le succès de l'apprenti prive l'entrepreneur d'un avantage alors que son échec lui permettrait d'en conserver le bénéfice ; enfin, les entreprise seraient tentées de raccourcir les contrats de deux mois, de telle sorte que leur terme coïncide avec la date d'obtention habituelle du diplôme, privant ainsi l'Etat de l'économie escomptée. Mes chers...

Pour augmenter le nombre d'apprentis, il faut agir en amont ; il faut donc développer et valoriser réellement le préapprentissage entre quatorze et quinze ans, ce qui serait moins coûteux que les dispositifs de lutte contre les exclusions après la scolarité. Comment favoriser le développement de l'apprentissage qui, jusqu'ici, n'a pas eu le succès escompté ? En favorisant l'essor des classes préparatoires à l'apprentissage, c'est-...

...ves de suivre l'enseignement d'un collège unique, ce qui se révèle catastrophique car trop de jeunes sortent du collège sans qualification, deviennent des chômeurs, voire des délinquants, d'où les efforts qui sont faits pour les récupérer. Il serait plus sage de s'en occuper avant ! Il faut leur offrir la possibilité non pas forcément de sortir du système scolaire, mais de suivre des cours de préapprentissage leur permettant, à partir de quatorze ans, ...

M. Serge Dassault. Après l'apprentissage, ils trouveront immédiatement du travail, car 400 000 emplois dans ces domaines ne sont pas pourvus.