Les amendements de Patrice Joly pour ce dossier
19 interventions trouvées.
Nous voilà parvenus au terme de l’examen d’un texte qui ne contenait pas les réponses attendues, ses dispositions n’étant pas à la hauteur des besoins des populations situées dans les territoires sous-dotés. Ce texte avait été enrichi, modestement, mais utilement, par les nombreux amendements adoptés par l’Assemblée nationale. Deux jours de dé...
Lors du débat sur le projet de loi de finances (PLF) pour 2023, j'avais suggéré d'expérimenter l'extension des CESP, aujourd'hui destinés aux étudiants en médecine et en odontologie, aux étudiants en orthophonie, afin que ces derniers puissent s'installer dans les territoires ruraux. Malgré un vote unanime de notre assemblée, le Gouvernement, e...
J'entends ce qui vient d'être indiqué, mais je me demande quelles perspectives je pourrai donner, lorsque je rentrerai chez moi à l'issue des débats, aux personnes âgées, qui sont nombreuses dans nos territoires ruraux, concernant la prise en charge des maladies qu'elles peuvent avoir. Quelles perspectives pourrai-je donner aux personnes attein...
Lors du débat sur le projet de loi de finances (PLF) pour 2023, j’avais suggéré d’expérimenter l’extension des CESP, aujourd’hui destinés aux étudiants en médecine et en odontologie, aux étudiants en orthophonie, afin que ces derniers puissent s’installer dans les territoires ruraux. Malgré un vote unanime de notre assemblée, le Gouvernement, e...
Lors du débat sur le projet de loi de finances pour 2023, j’avais suggéré d’expérimenter l’extension des CESP, aujourd’hui destinés aux étudiants en médecine et en odontologie, aux étudiants en orthophonie, afin que ces derniers puissent s’installer dans les territoires ruraux. Malgré un vote unanime de notre assemblée, le Gouvernement, en reco...
Lors du débat sur le projet de loi de finances pour 2023, j’avais suggéré d’expérimenter l’extension des CESP, aujourd’hui destinés aux étudiants en médecine et en odontologie, aux étudiants en orthophonie, afin que ces derniers puissent s’installer dans les territoires ruraux. Malgré un vote unanime de notre assemblée, le Gouvernement, en reco...
J’entends ce qui vient d’être indiqué, mais je me demande quelles perspectives je pourrai donner, lorsque je rentrerai chez moi à l’issue des débats, aux personnes âgées, qui sont nombreuses dans nos territoires ruraux, concernant la prise en charge des maladies qu’elles peuvent avoir. Quelles perspectives pourrai-je donner aux personnes attein...
J’entends ce qui vient d’être indiqué, mais je me demande quelles perspectives je pourrai donner, lorsque je rentrerai chez moi à l’issue des débats, aux personnes âgées, qui sont nombreuses dans nos territoires ruraux, concernant la prise en charge des maladies qu’elles peuvent avoir. Quelles perspectives pourrai-je donner aux personnes attein...
Nous voilà parvenus au terme de l'examen d'un texte qui ne contenait pas les réponses attendues, ses dispositions n'étant pas à la hauteur des besoins des populations situées dans les territoires sous-dotés. Ce texte avait été enrichi, modestement, mais utilement, par les nombreux amendements adoptés par l'Assemblée nationale. Deux jours de dé...
Avant tout, mes chers collègues, restons attentifs au vocabulaire que nous utilisons : il n’est pas question ici de coercition, mais de régulation. En choisissant le premier terme, on risque fort de se livrer à une forme de manipulation intellectuelle… De même, on voudrait nous faire croire qu’il n’y a pas de territoires surdotés, alors que c’...
Enfin, je ne saurais accepter que l’on invoque la motivation des médecins, lorsque des kinés, des infirmiers ou encore des fonctionnaires font, …
… malgré les contraintes qui pèsent sur eux, leur travail avec tout le sérieux que l’on peut attendre d’eux. L’urgence est là. Nos territoires se meurent ; il faut trouver des solutions !
Nous proposons ici une mesure de régulation relative à l’installation des jeunes médecins. Plus précisément, cet amendement vise des médecins qui, quoique formés à la médecine générale, n’exercent pas devant des malades, mais dans des laboratoires ou dans d’autres institutions ou organismes. Une étude de 2015 a démontré que 25 % des médecins ...
Cet amendement-ci concerne les médecins qui, formés à la médecine générale, vont effectivement exercer devant des malades. Il leur est proposé, là encore, de consacrer du temps aux patients des zones non surdotées à raison de dix-huit mois en équivalent temps plein, exercice qu’ils pourraient accomplir sur une période de trois ans s’ils préfèr...
Avant tout, mes chers collègues, restons attentifs au vocabulaire que nous utilisons : il n'est pas question ici de coercition, mais de régulation. En choisissant le premier terme, on risque fort de se livrer à une forme de manipulation intellectuelle… De même, on voudrait nous faire croire qu'il n'y a pas de territoires sur-dotés, alors que c...
Enfin, je ne saurais accepter que l'on invoque la motivation des médecins, lorsque des kinés, des infirmiers ou encore des fonctionnaires font, …
… malgré les contraintes qui pèsent sur eux, leur travail avec tout le sérieux que l'on peut attendre d'eux. L'urgence est là. Nos territoires se meurent ; il faut trouver des solutions !
Nous proposons ici une mesure de régulation relative à l'installation des jeunes médecins. Plus précisément, cet amendement vise des médecins qui, quoique formés à la médecine générale, n'exercent pas devant des malades, mais dans des laboratoires ou dans d'autres institutions ou organismes. Une étude de 2015 a démontré que 25 % des médecins ...
Cet amendement-ci concerne les médecins qui, formés à la médecine générale, vont effectivement exercer devant des malades. Il leur est proposé, là encore, de consacrer du temps aux patients des zones non sur-dotées à raison de dix-huit mois en équivalent temps plein, exercice qu'ils pourraient accomplir sur une période de trois ans s'ils préfè...