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Madame la ministre, je souhaite vous interroger sur l'inefficacité de la politique de continuité écologique des cours d'eau. Ce principe, issu de la loi du 30 décembre 2006 sur l'eau et les milieux aquatiques, dite loi Lema, implique la libre circulation dans les cours d'eau des espèces et des sédiments. Les barrages et les étangs qui ont été ...
Madame la ministre, je souhaite vous interroger sur l’inefficacité de la politique de continuité écologique des cours d’eau. Ce principe, issu de la loi du 30 décembre 2006 sur l’eau et les milieux aquatiques, dite Lema, implique la libre circulation dans les cours d’eau des espèces et des sédiments. Les barrages et les étangs qui ont été cons...
Les ministres changent, mais la technostructure doctrinaire demeure. Depuis vingt ans, nous en sommes toujours au même point, si bien que nous allons à la catastrophe, tout en klaxonnant !
Les ministres changent, mais la technostructure doctrinaire demeure. Depuis vingt ans, nous en sommes toujours au même point, si bien que nous allons à la catastrophe, tout en klaxonnant !
C'est une bonne question !
C’est une bonne question !
C’est une bonne question !
Sur le fond, Mme Préville a vraiment raison : ces vêtements, quand ils partent de France ou d'Europe, ne sont pas considérés comme des déchets ; ils le deviennent, pour 90 % d'entre eux, quand ils parviennent à leur pays de destination, car ils sont alors inutilisables.
Sur le fond, Mme Préville a vraiment raison : ces vêtements, quand ils partent de France ou d'Europe, ne sont pas considérés comme des déchets ; ils le deviennent, pour 90 % d'entre eux, quand ils parviennent dans leur pays de destination, car ils sont alors inutilisables.
Pour les récupérateurs, c'est là un moyen de s'en débarrasser à moindre coût. C'est là un véritable problème. Dans ces pays d'Afrique, on voit effectivement s'amonceler, dans des dépôts sauvages, tous ces vêtements envoyés en tant qu'habits, mais qui, en réalité, sont des déchets.
Pour les récupérateurs, c'est un moyen de s'en débarrasser à moindre coût. C'est là un véritable problème. Dans ces pays d'Afrique, on voit effectivement s'amonceler, dans des dépôts sauvages, tous ces vêtements envoyés en tant qu'habits, mais qui, en réalité, sont des déchets.
Sur le fond, Mme Préville a vraiment raison : ces vêtements, quand ils partent de France ou d’Europe, ne sont pas considérés comme des déchets ; ils le deviennent, pour 90 % d’entre eux, quand ils parviennent dans leur pays de destination, car ils sont alors inutilisables.
Pour les récupérateurs, c’est un moyen de s’en débarrasser à moindre coût. C’est là un véritable problème. Dans ces pays d’Afrique, on voit effectivement s’amonceler, dans des dépôts sauvages, tous ces vêtements envoyés en tant qu’habits, mais qui, en réalité, sont des déchets.
Pour les récupérateurs, c’est un moyen de s’en débarrasser à moindre coût. C’est là un véritable problème. Dans ces pays d’Afrique, on voit s’amonceler, dans des dépôts sauvages, tous ces vêtements envoyés en tant qu’habits, mais qui, en réalité, sont des déchets.
Madame la présidente, monsieur le ministre, mes chers collègues, après avoir remis un rapport d'information sur la compétitivité de la ferme France, j'ai rédigé avec mes collègues Serge Mérillou et Laurent Duplomb une proposition de loi, tout simplement parce que cela m'a semblé nécessaire pour tenter de remédier à la situation alarmante de not...
Je souhaite revenir sur un certain nombre de points qui font l'objet de débats et de critiques. Tout d'abord, on nous dit que l'on revient sur le cadre normatif et qu'il ne faut pas s'occuper du droit européen. Or l'un des principaux maux de notre agriculture est bien, me semble-t-il, le cadre normatif et les surtranspositions réalisées avec b...
M. Pierre Louault . Or l'expérience a duré deux ans, au terme desquels la production annuelle avait diminué de moitié et un tiers du pays subissait la famine. Aussi, de grâce, revenons aux réalités !
M. Pierre Louault . Je suis tout à fait favorable à faire évoluer l'agriculture dans un sens plus respectueux de l'environnement, en employant de nouvelles méthodes. Mais celles-ci ne consistent pas forcément à copier ce qui se faisait au XIXe siècle.
Madame la présidente, monsieur le ministre, mes chers collègues, après avoir remis un rapport d'information sur la compétitivité de la ferme France, j'ai rédigé avec mes collègues Serge Mérillou et Laurent Duplomb une proposition de loi, tout simplement parce que cela m'a semblé nécessaire pour tenter de remédier à la situation alarmante de not...
Les nouvelles méthodes, vous les réfutez ! Or l'évolution de l'agriculture viendra de celle des technologies et de la résistance variétale.