242 interventions trouvées.
C'est une bonne question !
C’est une bonne question !
C’est une bonne question !
Sur le fond, Mme Préville a vraiment raison : ces vêtements, quand ils partent de France ou d'Europe, ne sont pas considérés comme des déchets ; ils le deviennent, pour 90 % d'entre eux, quand ils parviennent à leur pays de destination, car ils sont alors inutilisables.
Sur le fond, Mme Préville a vraiment raison : ces vêtements, quand ils partent de France ou d'Europe, ne sont pas considérés comme des déchets ; ils le deviennent, pour 90 % d'entre eux, quand ils parviennent dans leur pays de destination, car ils sont alors inutilisables.
Pour les récupérateurs, c'est là un moyen de s'en débarrasser à moindre coût. C'est là un véritable problème. Dans ces pays d'Afrique, on voit effectivement s'amonceler, dans des dépôts sauvages, tous ces vêtements envoyés en tant qu'habits, mais qui, en réalité, sont des déchets.
Pour les récupérateurs, c'est un moyen de s'en débarrasser à moindre coût. C'est là un véritable problème. Dans ces pays d'Afrique, on voit effectivement s'amonceler, dans des dépôts sauvages, tous ces vêtements envoyés en tant qu'habits, mais qui, en réalité, sont des déchets.
Sur le fond, Mme Préville a vraiment raison : ces vêtements, quand ils partent de France ou d’Europe, ne sont pas considérés comme des déchets ; ils le deviennent, pour 90 % d’entre eux, quand ils parviennent dans leur pays de destination, car ils sont alors inutilisables.
Pour les récupérateurs, c’est un moyen de s’en débarrasser à moindre coût. C’est là un véritable problème. Dans ces pays d’Afrique, on voit effectivement s’amonceler, dans des dépôts sauvages, tous ces vêtements envoyés en tant qu’habits, mais qui, en réalité, sont des déchets.
Pour les récupérateurs, c’est un moyen de s’en débarrasser à moindre coût. C’est là un véritable problème. Dans ces pays d’Afrique, on voit s’amonceler, dans des dépôts sauvages, tous ces vêtements envoyés en tant qu’habits, mais qui, en réalité, sont des déchets.
Madame la présidente, monsieur le ministre, mes chers collègues, après avoir remis un rapport d'information sur la compétitivité de la ferme France, j'ai rédigé avec mes collègues Serge Mérillou et Laurent Duplomb une proposition de loi, tout simplement parce que cela m'a semblé nécessaire pour tenter de remédier à la situation alarmante de not...
Je souhaite revenir sur un certain nombre de points qui font l'objet de débats et de critiques. Tout d'abord, on nous dit que l'on revient sur le cadre normatif et qu'il ne faut pas s'occuper du droit européen. Or l'un des principaux maux de notre agriculture est bien, me semble-t-il, le cadre normatif et les surtranspositions réalisées avec b...
M. Pierre Louault . Or l'expérience a duré deux ans, au terme desquels la production annuelle avait diminué de moitié et un tiers du pays subissait la famine. Aussi, de grâce, revenons aux réalités !
M. Pierre Louault . Je suis tout à fait favorable à faire évoluer l'agriculture dans un sens plus respectueux de l'environnement, en employant de nouvelles méthodes. Mais celles-ci ne consistent pas forcément à copier ce qui se faisait au XIXe siècle.
Madame la présidente, monsieur le ministre, mes chers collègues, après avoir remis un rapport d'information sur la compétitivité de la ferme France, j'ai rédigé avec mes collègues Serge Mérillou et Laurent Duplomb une proposition de loi, tout simplement parce que cela m'a semblé nécessaire pour tenter de remédier à la situation alarmante de not...
Les nouvelles méthodes, vous les réfutez ! Or l'évolution de l'agriculture viendra de celle des technologies et de la résistance variétale.
Je souhaite revenir sur un certain nombre de points qui font l'objet de débats et de critiques. Tout d'abord, on nous dit que l'on revient sur le cadre normatif et qu'il ne faut pas s'occuper du droit européen. Or l'un des principaux maux de notre agriculture est bien, me semble-t-il, le cadre normatif et les surtranspositions réalisées avec b...
Le second point ayant fait l'objet de critiques est le volet fiscal, qui concerne tous les producteurs, aussi bien bio que les autres, parce que chacun a besoin d'investir pour trouver de nouvelles méthodes de production. Aujourd'hui, les producteurs perçoivent des recettes tellement insuffisantes qu'ils ne peuvent plus investir, ce qui est un...
M. Pierre Louault . Or l'expérience a duré deux ans, au terme desquels la production annuelle avait diminué de moitié et un tiers du pays subissait la famine. Aussi, de grâce, revenons aux réalités !
Madame la présidente, monsieur le ministre, mes chers collègues, après avoir remis un rapport d’information sur la compétitivité de la ferme France, j’ai rédigé avec mes collègues Serge Mérillou et Laurent Duplomb une proposition de loi, tout simplement parce que cela m’a semblé nécessaire pour tenter de remédier à la situation alarmante de not...