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Le paradoxe réside dans le fait que ces travaux n'ont généralement pas de suite.
En France, nous avons constaté une évolution dans la communication. Traditionnellement, les informations arrivaient au préfet, qui les relayait jusqu'au maire, ce dernier les retransmettant éventuellement à la population. Selon la nouvelle doctrine, l'information doit désormais être diffusée tous azimuts. Mais en fonction de quoi une informatio...
En France, nous avons constaté une évolution dans la communication. Traditionnellement, les informations arrivaient au préfet, qui les relayait jusqu'au maire, ce dernier les retransmettant éventuellement à la population. Selon la nouvelle doctrine, l'information doit désormais être diffusée tous azimuts. Mais en fonction de quoi une informatio...
Ceci est d'autant plus surprenant que les ONG ne sont pas plus fiables que d'autres interlocuteurs.
Ceci est d'autant plus surprenant que les ONG ne sont pas plus fiables que d'autres interlocuteurs.
Ce qui est pourtant faux.
Ce qui est pourtant faux.
Je pense que la diffusion de l'information en vrac à tout le monde est sans intérêt. En revanche, il nous semble que lorsque l'information est relayée par des personnes de confiance, les chances qu'elle soit prise en compte sont plus grandes. Qu'en pensez-vous ?
Je pense que la diffusion de l'information en vrac à tout le monde est sans intérêt. En revanche, il nous semble que lorsque l'information est relayée par des personnes de confiance, les chances qu'elle soit prise en compte sont plus grandes. Qu'en pensez-vous ?
Il faut donc des répétiteurs.
Il faut donc des répétiteurs.
Dans le cas précis des inondations, des informations météorologiques vous paraissent-elles de nature à influencer le comportement de la population ? Cela améliore-t-il la capacité à réagir à la crise ?
Dans le cas précis des inondations, des informations météorologiques vous paraissent-elles de nature à influencer le comportement de la population ? Cela améliore-t-il la capacité à réagir à la crise ?
Justement, comment définir la culture du risque ? En quoi consiste-t-elle ? Il faut faire le tri entre les informations. Les phénomènes de rumeur sont récurrents, rumeurs qui se propagent, sans que nous sachions pourquoi ni comment. Dans le Var, une rumeur a ainsi circulé, selon laquelle un barrage, celui de Carcès, allait se rompre. Chacun éta...
Justement, comment définir la culture du risque ? En quoi consiste-t-elle ? Il faut faire le tri entre les informations. Les phénomènes de rumeur sont récurrents, rumeurs qui se propagent, sans que nous sachions pourquoi ni comment. Dans le Var, une rumeur a ainsi circulé, selon laquelle un barrage, celui de Carcès, allait se rompre. Chacun éta...
Dans le cas des inondations, il est difficile de faire des annonces personnalisées. Existe-t-il un type de parole permettant de faire décroître les rumeurs alarmistes ?
Dans le cas des inondations, il est difficile de faire des annonces personnalisées. Existe-t-il un type de parole permettant de faire décroître les rumeurs alarmistes ?
Cela reste toujours néanmoins sur le thème « on contrôle ».
Cela reste toujours néanmoins sur le thème « on contrôle ».
Savez-vous expliquer la vitesse avec laquelle ces catastrophes sont oubliées ? Les inondations du Var en 2011 constituent le point de départ de notre réflexion. Cependant, alors que les inondations apparaissent tous les trois à cinq ans, chacune apparaît comme une nouveauté.