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Ah ! Vous nous répondez finalement !
Vous êtes d'un ridicule absolu ! Que le peuple vous entende !
Peut-être ne sont-ils pas d'accord avec Jacques Chirac ?
C'est Jacques Chirac qui jette l'anathème ! Il montre l'exemple !
A moins qu'il ne soit contre le Président de la République !
Très bien !
Peut-être y a-t-il un désaccord avec le Président de la République !
Ma question s'adresse à M. le ministre délégué à l'industrie. Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, écouter notre peuple est nécessaire, mais l'entendre est indispensable !
Notre peuple n'en peut plus de ces vagues de licenciements successives, engagées trop souvent pour satisfaire les actionnaires dont le seul souci est l'augmentation de leurs dividendes et les profits vertigineux des « patrons voyous ». Notre peuple en a assez de la fuite en avant que constituent les privatisations, telle celle de la SNCM, alor...
M. le Président de la République, qui ne peut être exonéré de toute responsabilité dans la situation économique et sociale gravissime que nous connaissons, interpelle - sans conviction - la Commission européenne.
Il n'a pour réponse que l'arrogance ultralibérale de M. Barroso, qui balaie l'expression majoritaire de notre peuple lors du référendum du 29 mai et réduit les exigences sociales de la France à l'égard de l'Europe à du populisme.
Cette réponse méprisante de M. Barroso à l'égard de la France est inacceptable.
M. le Premier ministre, évoquant les aides publiques à Hewlett-Packard, a indiqué « qu'il serait normal que cette entreprise rembourse les aides publiques spécifiques dont elle a pu bénéficier ». Ce matin, un certain nombre d'analystes confirment dans la presse que les législations contraignantes nécessaires sont du ressort des Etats-nations.
M. Robert Hue. Mais précisément, monsieur le ministre
M. Robert Hue. Soyez attentifs : ce soir, M. le Premier ministre aura l'occasion de dire si nous pouvons effectivement légiférer pour nous doter d'une loi portant un coup aux « licenciements boursiers » et aux « licenciements privatisations ».
La question est suffisamment grave !
M. Robert Hue. Ça nous donne le vertige !
Qui va payer ? C'est le contribuable !
Et certaines déclarations !
Monsieur le ministre, la voix des élus concernant les problèmes de pollution sonore subis par les riverains de l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, qui se situe dans le département dont je suis l'élu, doit-elle atteindre un certain seuil de décibels avant que le Gouvernement ne l'entende ? Mon intervention d'aujourd'hui peut apparaître comme d...