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Mes chers collègues, nous allons interrompre nos travaux pour quelques instants. La séance est suspendue.
La séance est reprise.
L’ordre du jour appelle la discussion de la proposition de loi, adoptée par l’Assemblée nationale après engagement de la procédure accélérée, relative à la répartition des sièges de conseiller à l’assemblée de Guyane entre les sections électorales (proposition n° 178, texte de la commission n° 207, rapport n° 206). Dans la discussion générale,...
M. le président. La parole est à Mme la rapporteure.
La parole est à Mme Nathalie Delattre.
La parole est à Mme Éliane Assassi.
La parole est à M. Philippe Bonnecarrère.
La parole est à M. Jean-Pierre Sueur.
La parole est à M. Dany Wattebled.
La parole est à M. Guy Benarroche.
La parole est à Mme Marie-Laure Phinera-Horth.
La discussion générale est close. Nous passons à la discussion du texte de la commission.
Avant de mettre aux voix l’article unique constituant l’ensemble de la proposition de loi, je donne la parole à Mme Muriel Jourda, pour explication de vote.
Personne ne demande plus la parole ?… Je mets aux voix, dans le texte de la commission, l’article unique constituant l’ensemble de la proposition de loi.
M. le président. Je constate que la proposition de loi a été adoptée à l’unanimité des présents.
Voici quel sera l’ordre du jour de la prochaine séance publique, précédemment fixée à demain, mardi 15 décembre 2020 : À quatorze heures trente : Nouvelle lecture du projet de loi, adopté par l’Assemblée nationale en nouvelle lecture, relatif au retour de biens culturels à la République du Bénin et à la République du Sénégal (texte n° 196, 20...
M. Roger Karoutchi. Monsieur le Premier ministre, ma question est simple : quelle conception le Gouvernement a-t-il de l’unité de la Nation dans notre République indivisible ?
Monsieur le Premier ministre, je ne doute pas du tout de vos intentions, mais je voulais insister sur le fait que, pour nous, la Nation n’est pas un agrégat de communautés.
C’est un creuset, dans lequel tout le monde se retrouve. Je vous entends bien, monsieur le Premier ministre, mais j’ai également entendu le Président de la République dire qu’il fallait constituer une liste de 300 à 500 personnes issues de la diversité, afin de donner à ces dernières des noms de rue et des statues… Or, je vous le dis sincèrem...
Tous ceux auxquels, en raison de leur valeur personnelle, la République doit sa reconnaissance doivent l’obtenir, mais les inscrire sur une telle liste reviendrait à réduire leurs mérites. Ils n’ont pas à être reconnus parce qu’ils représentent la diversité ; ils doivent l’être pour leur valeur personnelle.