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Je le redéposerai en séance, croyez-moi ! L'ONF, qui est un établissement public commercial, passe son temps à racketter tous les acteurs du territoire. Pourquoi prélève-t-il autant à l'hectare ? Les communes ont l'impression de payer un service qui n'a pas été rendu.
Une telle mesure est indispensable, et il faut l'élargir à toute la prédation. Dans ma région, nous sommes confrontés au problème des vautours. L'amendement COM-267 est adopté.
Je partage ce qui vient d'être dit : les ruraux voient bien ce qui se passe. Dans certaines zones, il est toujours impossible de téléphoner avec son portable. Même quand la fibre sera déployée, les hameaux ne seront pas reliés. En Lozère, nous en comptons 2 200 ! Nous devons commencer par modifier la définition des zones grises : plutôt que d...
En Lozère, c'est 14 000 euros !
Sur la ruralité et l'hyper-ruralité, avez-vous une stratégie, ou non ?
Et la campagne intelligente ?
Êtes-vous en mesure de dresser un bilan de la répartition géographique des interventions financières de la Caisse ? Il serait intéressant de connaître, notamment, la part de ces interventions bénéficiant à la ruralité en général, et de ventiler, au sein de la ruralité, selon les différents types de ruralité : post-industrielle, littorale, monta...
Vous avez fait carrière à Paris : connaissez-vous la ruralité et l'hyper-ruralité ? En outre, n'est-ce pas un handicap d'avoir fait l'ENA ? Allez-vous vous préoccuper de l'absence de concurrence qui règne dans le monde rural et qui amène les consommateurs à payer leurs achats beaucoup plus cher ?
Quand la couverture par satellite sera-t-elle assurée ? Atteindra-t-elle la Lozère ? Ni le téléphone fixe, ni le téléphone portable, ni internet ne fonctionnent ! Quant à l'électricité d'EDF, c'est par intermittence. À quand les bonnes nouvelles ?
Maire d'une petite ville, j'ai plusieurs fois voulu traiter avec l'établissement public de la région, cela n'a jamais marché ! J'ai en revanche signé des conventions avec les Safers, qui m'ont aidé chaque fois que j'ai dû réorganiser une propriété agricole. Les Safers ont le savoir-faire, il faut conserver leurs possibilités d'intervention, sin...
Je félicite les auteurs de la proposition de loi. Il est bon de revenir sur ce sujet de l'assurance, auquel les agriculteurs sont sensibles : le risque climatique s'aggrave ; quant au risque sur le revenu, on voit ce qu'il en est : la filière laitière est en pleine déroute. Sans parler de celle de la viande : les « viandes sur pied », qui se ve...
Combien gagnez-vous ?
Quelles sont les perspectives d'évolution pour l'emploi en France ? Sachez qu'une implantation Total Contact serait très bien accueillie en Lozère.
Venez en Lozère, nous avons du bois !
Je crains que comme à l'accoutumée, le monde rural - faut-il le qualifier de « zones détendues » ? - ne passe à la trappe. Or, nous avons besoin de logements. Faudra-t-il s'en remettre aux choix parisiens, ou pourra-t-on faire du local ? Je voterai avec beaucoup de réserves.
Et le provisionnement pour le barrage de Poutès ? Vous l'aviez prévu, celui-ci ? Faites-le donc !
Il s'agit de contrats de droit privé. Rien n'oblige l'acheteur - généralement une grosse centrale - qui avait un contrat avec un producteur donné à poursuivre avec un autre. Oui à l'article 1er, mais je m'interroge sur sa mise en oeuvre.
Mieux vaut préconiser le retrait de l'amendement, puisque le sujet sera abordé dans le groupe de travail. Outre la question de l'assurance, le changement climatique impose aussi de changer les méthodes et les rythmes culturaux. En Lozère, le climat pré-méditerranéen a avancé de 100 kilomètres en vingt ans : en Lozère il sera bientôt impossible ...
La péréquation à elle seule n'est pas une garantie d'efficacité, car nous ne sommes pas dans un monde parfait où ceux qui ont les besoins les plus importants sont aussi ceux qui reçoivent le plus de soutien. Les petites CCI territoriales sont particulièrement à risque, et appellent notre vigilance. Il n'y a pas d'obstacle majeur à fixer le fléc...
Je partage l'objectif de faire aboutir cette CMP. Je propose donc que l'on retienne le taux de 25 % pour le fonds de péréquation, en le considérant comme la première étape d'une démarche devant être poursuivie.