Les amendements de Alain Milon pour ce dossier
57 interventions trouvées.
En accord avec Mme la ministre, nous souhaiterions passer maintenant à l’examen du titre III, c’est-à-dire les dispositions relatives à la branche accidents du travail et maladies professionnelles contenues dans les articles 31 à 33 bis. Cela arrangerait beaucoup de monde, semble-t-il, monsieur le président...
M. Alain Milon, président de la commission des affaires sociales. J’ai écouté avec beaucoup d’attention le discours du président Guillaume, empreint d’une grande éloquence. Je regrette qu’il ne l’ait pas tenu également en 2012, en 2013, en 2014, en 2015 ou en 2016…
M. Alain Milon, président de la commission des affaires sociales. J’ai écouté avec beaucoup d’attention le discours du président Guillaume, empreint d’une grande éloquence. Je regrette qu’il ne l’ait pas tenu également en 2012, en 2013, en 2014, en 2015 ou en 2016…
Mes chers collègues, vous avez remarqué que je n’avais que très peu pris la parole depuis hier. Je vous rappelle que notre débat s’inscrit dans le cadre de l’examen d’un projet de loi de financement de la sécurité sociale. Je pensais que nous parlerions de maladie, des professions de santé, de la famille, des accidents du travail et des maladi...
Je ne reviendrai pas sur les propos qu’ont tenus mes confrères sur la meilleure façon de favoriser l’installation des jeunes médecins dans les différents quartiers de la Nation, car cela a été suffisamment expliqué. Après vous avoir écoutés, mes chers collègues, j’ai en revanche le sentiment que vous avez très mal, ou même pas du tout, pris co...
S’il manque des médecins dans notre pays, ce n’est sûrement pas de la faute des médecins. C’est probablement la faute des dirigeants politiques qui se sont succédé ces vingt dernières années, quels qu’ils soient ou quels qu’ils aient été. Pour former un médecin, il faut en effet compter dix à douze ans. S’il n’y a pas suffisamment de médecins a...
Ce que je veux dire, c’est que la responsabilité des uns et des autres est engagée. Je ne dis pas cela pour soutenir le gouvernement actuel, puisque je ne fais pas partie de sa majorité. Je le dis simplement pour soutenir la ministre de la santé, dont le travail est, selon moi, excellent pour l’instant, au moins au niveau médical – je ne parle ...
M. Alain Milon, président de la commission des affaires sociales. De toute façon, les solutions sont là, ou du moins bientôt là, parce qu’il faut beaucoup de temps pour former un médecin. En tout cas, il faut laisser aux médecins la possibilité de décider de leur avenir !
Je ne voterai évidemment pas ces deux amendements identiques de suppression de l’article 7. J’accepte que nous continuions de discuter de la CSG et de la façon dont nous pourrions l’adapter dans le cadre du PLFSS. Je voudrais revenir sur deux points. Premièrement, comme l’a dit fort justement M. Watrin, nous arrivons, monsieur le ministre, à ...
Deuxièmement, vous avez dit, avec beaucoup d’éloquence, au début et à la fin de votre intervention, deux choses importantes, dont je souhaite qu’elles n’échappent pas à l’ensemble de mes collègues. Vous avez clairement affirmé, d’une part, que vous souhaitiez, avec ce gouvernement, mettre en place un régime fiscal pour assurer le financement d...
Je ne voterai évidemment pas ces deux amendements identiques de suppression de l’article 7. J’accepte que nous continuions de discuter de la CSG et de la façon dont nous pourrions l’adapter dans le cadre du PLFSS. Je voudrais revenir sur deux points. Premièrement, comme l’a dit fort justement M. Watrin, nous arrivons, monsieur le ministre, à ...
Deuxièmement, vous avez dit, avec beaucoup d’éloquence, au début et à la fin de votre intervention, deux choses importantes, dont je souhaite qu’elles n’échappent pas à l’ensemble de mes collègues. Vous avez clairement affirmé, d’une part, que vous souhaitiez, avec ce gouvernement, mettre en place un régime fiscal pour assurer le financement d...
Un tel dispositif serait, me semble-t-il, extrêmement dangereux pour la santé, la famille, la branche AT-MP et les retraites.
Un tel dispositif serait, me semble-t-il, extrêmement dangereux pour la santé, la famille, la branche AT-MP et les retraites.
Je rappelle aux sénateurs membres de la commission des affaires sociales que celle-ci se réunit pendant la suspension de séance afin d’examiner la suite des amendements.
Je rappelle aux sénateurs membres de la commission des affaires sociales que celle-ci se réunit pendant la suspension de séance afin d’examiner la suite des amendements.
Monsieur le président, madame la ministre, mes chers collègues, permettez-moi de commencer mon propos par une citation : « Celui qui vient au monde pour ne rien troubler ne mérite ni égards ni patience. » Les propos de nos rapporteurs sur ce projet de loi de financement de la sécurité sociale témoignent de l’existence, aux yeux de la commissio...