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Il a duré quinze jours !
Et ceux du milieu ?
Les chiffres étaient dans le journal. Nous perdons du temps !
Et toujours un seul Président de la République !
Merci pour ceux qui aspirent à entrer au Gouvernement !
Ne vous dépêchez pas !
Prenez tout votre temps, monsieur le président !
Je formulerai un simple commentaire. Il y a deux types d'argumentaire assez différents pour s'opposer à cet article. Le premier est fondé sur le pouvoir d'achat, en expliquant que l'augmentation de contribution sur cet élément de la rémunération risque de porter atteinte à certains éléments de la politique salariale. Il n'y a pas de meilleure ...
Précisément ! C'était exactement la même chose que la défiscalisation des heures supplémentaires, qui consistait à payer du complément de rémunération avec de la dette publique. On voit bien que c'est une politique qui ne peut pas mener loin. Si, à l'avenir, les responsables d'entreprises sont amenés, dans l'équilibrage de leur politique salar...
Je voudrais répondre au président de la commission des finances, et je n'ai encore consommé que le quart de son temps de parole, que l'argumentaire en faveur de l'épargne salariale me semble avoir été fragilisé par les mesures qu'il a approuvées du gouvernement précédent consistant à réduire, voire à supprimer les délais de détention des fonds ...
Monsieur le président de la commission, je m'efforce de vous convaincre et je ne vous ai pas interrompu pendant vos onze minutes d'intervention. En revanche, sur le tout autre argumentaire posé par M. Jean-Pierre Chevènement – et je sympathise pleinement avec son approche –, il me semble que ce qui est en jeu, c'est l'actionnariat salarié, et ...
Très bien !
J'irai dans le sens du Gouvernement. À la lecture de l'amendement, il est clair que le dispositif s'applique de façon automatique au 31 décembre. Pour les quelques fusions qui seraient réalisées à l'amiable, donc sans décision du préfet, avant la fin de cette année, l'entrée en vigueur immédiate du dispositif risquerait de ne pas laisser un dél...
Sans étaler mes cicatrices, je voudrais témoigner de ce qui s'est passé entre 1989 et 1993. Nous avons réévalué l'ensemble des bases locatives, ce qui représentait 40 millions de locaux. La majorité de l'époque a décidé de ne pas donner suite à cette réforme en raison des transferts, dont elle redoutait les conséquences. La majorité suivante,...
… car vous constateriez que les transferts sont trop importants et totalement imprévus. Le choix est non pas entre faire la réforme en une seule fois ou l'étaler dans le temps, mais entre l'étaler dans le temps ou ne pas la faire du tout !
Personne n'y a retouché depuis !
Il a duré quinze jours !
Et ceux du milieu ?
Les chiffres étaient dans le journal. Nous perdons du temps !
Et toujours un seul Président de la République !