Amendement N° 7 rectifié (Rejeté)

Reconquête de la biodiversité de la nature et des paysages

Discuté en séance le 11 juillet 2016
Avis de la Commission : Défavorable — Avis du Gouvernement : Défavorable
( amendements identiques : 1 1 )

Déposé le 8 juillet 2016 par : MM. Bérit-Débat, Patriat, Carrère, Courteau, Roux, Camani, J.C. Leroy, Lalande, Cabanel, Montaugé, Vaugrenard, Duran, Lorgeoux, Mmes Bataille, Riocreux, D. Michel, MM. Jeansannetas, Raynal, Mazuir, Mme Génisson, MM. Manable, Labazée, Mme Jourda.

Photo de Claude Bérit-Débat Photo de François Patriat Photo de Jean-Louis Carrère Photo de Roland Courteau Photo de Jean-Yves Roux Photo de Pierre Camani Photo de Jean-Claude Leroy Photo de Bernard Lalande Photo de Henri Cabanel Photo de Franck Montaugé Photo de Yannick Vaugrenard 
Photo de Alain Duran Photo de Jeanny Lorgeoux Photo de Delphine Bataille Photo de Stéphanie Riocreux Photo de Danielle Michel Photo de Eric Jeansannetas Photo de Claude Raynal Photo de Rachel Mazuir Photo de Catherine Génisson Photo de Christian Manable Photo de Georges Labazée Photo de Gisèle Jourda 

Alinéa 14

Rétablir cet alinéa dans la rédaction suivante :

« 9° Le principe de non-régression, selon lequel la protection de l’environnement, assurée par les dispositions législatives et réglementaires relatives à l’environnement, ne peut faire l’objet que d’une amélioration constante, compte tenu des connaissances scientifiques et techniques du moment et de l’évolution des écosystèmes.

Exposé Sommaire :

L’introduction du principe de non-régression pourrait poser des difficultés dès qu’il faudra envisager un ajustement dans la protection de la flore, de la faune, des espaces naturels ou encore des techniques d’utilisation qu’elles soient agricoles ou de loisir de ces espaces.

Dans sa sagesse l’Assemblée nationale a introduit une précision faisant référence à l’évolution des connaissances scientifiques et techniques dans l’application du principe de non-régression écologique ce qui est un facteur externe à la biodiversité. Il faut également tenir compte des éléments internes à la biodiversité, en particulier des interactions s’opérant dans le milieu naturel : adaptabilité de certaines espèces tant fauniques que floristiques ou phénomènes géologiques et climatiques.

L’objet de cet amendement est donc de faire référence à l’évolution des écosystèmes.

NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.

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