Amendement N° 23 3ème rectif. (Rejeté)

Programmation militaire pour les années 2019 à 2025

Discuté en séance le 22 mai 2018
Avis de la Commission : Défavorable — Avis du Gouvernement : Défavorable
( amendements identiques : )

Déposé le 22 mai 2018 par : MM. Le Gleut, Perrin, Babary, Brisson, Mme Bruguière, MM. Charon, Chevrollier, Mme Deromedi, M. Frassa, Mme Garriaud-Maylam, MM. Gremillet, Grosdidier, Kennel, Mme Lassarade, MM. Laufoaulu, Lefèvre, Henri Leroy, Magras, Paccaud, Piednoir.

Photo de Ronan Le Gleut Photo de Cédric Perrin Photo de Serge Babary Photo de Max Brisson Photo de Marie-Thérèse Bruguière Photo de Pierre Charon Photo de Guillaume Chevrollier Photo de Jacky Deromedi Photo de Christophe-André Frassa Photo de Joëlle Garriaud-Maylam 
Photo de Daniel Gremillet Photo de François Grosdidier Photo de Guy-Dominique Kennel Photo de Florence Lassarade Photo de Robert Laufoaulu Photo de Antoine Lefèvre Photo de Henri Leroy Photo de Michel Magras Photo de Olivier Paccaud Photo de Stéphane Piednoir 

Alinéa 3

Remplacer les mots :

deux cent cinquante

par les mots :

cinq mille

Exposé Sommaire :

A défaut de rester au système, actuellement en vigueur, des cinq jours de congés octroyés de droit aux salariés réservistes pour leurs activités de réserve, il est proposé de réserver ledit congé de droit à huit jours pour les seules entreprises de plus de 5000 salariés, les entreprises de moins de 5000 salariés pouvant limiter ce droit à cinq jours afin de conserver leur bon fonctionnement.

Le seuil de 250 salariés semble insuffisant, réservant le bénéfice de la possibilité de limiter le congé à cinq jours au lieu de huit, aux seules PME.

Or les entreprises de taille intermédiaire (ETI), c'est-à-dire selon l'INSEE celles comptant de 250 à 4999 salariés, sont souvent fragiles aussi et leur bon fonctionnement pourrait se trouver affecté, notamment pour les plus petites d'entre elles, par l'octroi obligatoire de huit jours de congé au titre de la réserve.

De même les salariés réservistes pourraient voir leur carrière, voire leur embauche, restreinte dans ce type d'entreprises.

Il est donc proposé de monter le seuil de 250 à 5000 salariés.

NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.

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