Amendement N° 355 2ème rectif. (Retiré)

Prestation de serment de juges à la cour de justice de la république

Discuté en séance le 17 mai 2019
Avis de la Commission : Défavorable — Avis du Gouvernement : Défavorable
( amendement identique : )

Déposé le 14 mai 2019 par : MM. Maurey, Longeot, Lafon, Détraigne, Canevet, Moga, Paccaud, Henno, Chaize, Houpert, Mmes Noël, Bories, Malet, MM. Vogel, del Picchia, Chasseing, Laménie, Alain Marc, Pellevat, Perrin, Rapin, Mme Anne-Marie Bertrand.

Photo de Hervé Maurey Photo de Jean-François Longeot Photo de Laurent Lafon Photo de Yves Détraigne Photo de Michel Canevet Photo de Jean-Pierre Moga Photo de Olivier Paccaud Photo de Olivier Henno Photo de Patrick Chaize Photo de Alain Houpert Photo de Sylviane Noël 
Photo de Pascale Bories Photo de Viviane Malet Photo de Jean Pierre Vogel Photo de Robert del Picchia Photo de Daniel Chasseing Photo de Marc Laménie Photo de Alain Marc Photo de Cyril Pellevat Photo de Cédric Perrin Photo de Jean-François Rapin Photo de Anne-Marie Bertrand 

Après l’article 6 sexies

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après le sixième alinéa de l’article L. 131-5 du code de l’éducation, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :

« En outre, l’accord du maire de la commune de résidence est requis pour procéder à l’inscription d’un enfant dans une autre commune lorsque la commune de résidence comporte moins de 5 000 habitants et que la capacité d’accueil de ses établissements scolaires permet la scolarisation de l’enfant. Cette disposition ne s’applique pas lorsque cette inscription est justifiée par les motifs cités aux 1°, 2° et 3° de l’article L. 212-8. »

Exposé Sommaire :

Un enfant peut être inscrit dans une école publique située dans une commune différente de celle où il réside alors même que cette dernière est dotée d’une école en capacité de l’accueillir. Il suffit pour cela au parent d’obtenir l’accord du maire de la commune d’accueil.

Cette possibilité, sans accord du maire de la commune de résidence, apparait peu satisfaisante puisqu’elle conduit à une diminution des effectifs de l’école de la commune de résidence avec pour conséquences possibles, en particulier dans les zones rurales, la fermeture de classes et, parfois, de l’école.

Il apparaitrait opportun que l’inscription d’un enfant dans une autre commune que celle où il réside soit subordonnée à l’accord du maire de la commune de résidence lorsque l’école de cette dernière est en capacité de le scolariser et que la taille de la commune est inférieure à 5 000 habitants.

Cet accord ne sera pas requis dans certains cas où l’inscription dans un établissement particulier est justifiée par des motifs légitimes (contraintes professionnelles des parents, raisons médicales ou inscription dans le même établissement qu’un frère ou une sœur).

NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.

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